C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de usast dans 7FMR 
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[1] Si en navre Achillés et point Par le cuer, et met en tel point Que pouoir n'ot qu'ailleurs musast, Et, se la sa vie usast, De l'esgarder ne fust lassez Et ne lui semblast pas assez ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 114)
[2] et leur dist que toutes ces responces avoient esté faictes maintes fois et qu'il n'estoit point question de paix finalle, mais de trève seullement, et qu'il ne vouloit point que on leur usast plus de ces parolles et que luy mesmes vouloit parler avec eulx. (COMM., II, 1489-1491, 80)
[3] Et pour ce que parparolles il ne le povoit retraire, il usa de unecautelle, laquelle est en ceste lettre, qui dist ainssy: Ung homme qui tresexcellentement amoit son filz, pour leretraire de une foursenee et non loisible amour de une femme de laquellela hantise estoit tresperilleuse, sy lui pria que, ainchoiz qu'il allastdevers celle que il tant amoit, que il usast de une aultrefemme commune et loisible ad ce faire. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 29)
[4]Sire Diex, qui, pour raemplir Les siéges de ton paradis, Desquelx trebuchiérent jadis Les mauvais anges par orgueil, Puis fu d'omme fourmer ton vueil Tel que les siéges possessast Et sanz fin de ta gloire usast; (Mir. Clov., c.1381, 254)
[5] (9.6) Rome, qui encores estoit jeune et nouvelment construite, fu corrocee du refus dessus dit, et vit bien car il couvenoit que elle usast de sa force. (BERS., I, 1, c.1354-1359, 15)
[6] liquelz li a commandé car il tensist la juvence en armes afin que il usast de leur aide se besoing li sordoit encontre cus de Vege. (BERS., I, 1, c.1354-1359, 43)
[7] Et pour ce que l'en ne povoit venir à conclusion et par especial, car par avant ceste journée, combien que le plus grant nombre des oppinions se revenoit bien et s'accordoit que par jugement fust dit ou par arrest que chascune des parties eust la moitié, toutevoie n'estoient pas d'accort que l'en usastde ce mot erreur, c'est assavoir que oudit jugement eust eu erreur, mais que la Court ordonnoit que chascune desdictes parties averoit la moitié. (BAYE, I, 1400-1410, 272)
[8] etquant le roy eust tout ouy, la responce et conclusion du roy fut que chascun usast comme on avoit accoustumé, et que de eulx mesmes ilz corrigassent les abbus. (JUV. URS., Verba, 1452, 360)
[9] Aussi pour certain on appreuve Pillules faictes, que l'en treuve, De pur aloe cicotrin, De bon myrre et de saffren fin, Et aucuns savans Maistres dirent Par exprez que onques ne virent Aucun mourir d'épidémie Qui usast souvent en sa vie De ceste noble médicine, Qui est en ce puissant et digne, Et encores veulent, sans faille, Affermer que onques la pareille, Si louable ne approuvée, Ne fut en tel cas controuvée. (LA HAYE, P. peste, 1426, 136)
[10] et soy confiant d'elle et de son amour, après ce qu'elle li ot promis que elle ne l'accuseroit point par la foy et serement de son corps, li dist les paroles cy après devisées, et que elle en usast par la maniere que elle li enseigneroit, et lors sondit ami l'ameroit comme dit est dessus, c'est assavoir: que elle prenist un coq blanc, etc. . (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 354)

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