| [1] | mais il usa du nom de paradis pour non lez estranger et altera la chose du tout pour loy bestourner. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 120) | | [2] | Par grant douleur cil s'en ala En un temple, et sa vie la Usa en dueil et en tristece ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 294) | | [3] | et comme ou senat, pour paix avoir, plusieurs l'accordassent, Demoscenes, qui l'un des .X. estoit, usa de telle parabole : «Les loups, dist-il, vouldrent une fois faire telle acordance et aliance avec les pastours, que tous les chiens, qui estoient contraires aux loups, ilz leur bailleroient, et ainsi seroit paix entre eulz. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 74) | | [4] | Tout ce jour demoura encores monsr de Charroloys sur le champ fort joyeux, estimant la gloire sienne, qui depuis luy a cousté bien cher: car oncques puis ne usa de conseil d'homme, mais du sien propre. (COMM., I, 1489-1491, 37) | | [5] | Toutesfois il ne usa de nulle cruaulté en ceste matière, mais aucuns perdirent leurs offices, autres les envoya demourer ailleurs: que je lui reppute à louenge de n'avoir usé d'autre vengence, car si ce qui estoit encommancé fust venu à effect, le myeulx qu'il luy povoit advenir, c'estoit de fuyr hors du royaulme. (COMM., I, 1489-1491, 57) | | [6] | et usa le mareschal de Bourgongne (appellé de Neufchastel pour son surnom) de ceste parolle: " Si ce jeune prince fol ou enraigé s'est allé perdre, ne perdons pas sa maison ne le fait de son père ne le nostre. (COMM., I, 1489-1491, 83) | | [7] | Aussi disent aucuns qu'il usa de vostre conseil, monsr de Vienne. (COMM., II, 1489-1491, 118) | | [8] | Combien qu'il fust bon chevalier, si avoit-il peu de vertuz, et usa de grans prières et de grandz remonstrances, par quoy il me semble que, s'il eust plus audacieusement parlé, qu'il luy en fust mieulx prins, sinon que Dieu en eust ainsi ordonné, et cela croy-je, car il ne failloit que tenir encores troys jours qu'ilz n'eussent eu le secours. (COMM., II, 1489-1491, 134) | | [9] | Aussi disent aucuns qu'il usa de vostre conseil, monsr de Vienne. (COMM., II, 1489-1491, 118) | | [10] | Combien qu'il fust bon chevalier, si avoit-il peu de vertuz, et usa de grans prières et de grandz remonstrances, par quoy il me semble que, s'il eust plus audacieusement parlé, qu'il luy en fust mieulx prins, sinon que Dieu en eust ainsi ordonné, et cela croy-je, car il ne failloit que tenir encores troys jours qu'ilz n'eussent eu le secours. (COMM., II, 1489-1491, 134) |
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Attestation de 