C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de uniz dans 7FMR 
5 attestations 
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[1] Bergiers sont tous ou champ uniz. (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 52)
[2] Ainsi fut ou ventre de lavierge Marie uniz et conjoint a nature humaine, et ausepulcre fut uny a la char, et en enfer a l'ame de Jhesu Crist. (Somme abr., c.1477-1481, 138)
[3] Et estoient les habitans bien uniz avec les gens d'armes de ladicte ville pour resister à l'assault et entreprise dessusdis, et mesmement, pour ce que on avoit dit et disoit on publiquement à Paris que ledit messire Charles de Valois, fils du roy Charles VIe, derrain trespassé, cui Dieu pardoint,avoit abandonné à ses gens ladicte ville de Paris et les habitans d'icelle, grans et petis, de tous estas, hommes et femmes, et quòd erat sua intencio redigendi ad aratrum urbem Parisiensem, christianissimis civibus habitatam, quod non erat facile credendum . (FAUQ., II, 1421-1430, 323)
[4] Considerent ceulx qui ont veu les cronicques, se onques on vist roy de France sy obey de ses parens et subjectz, yceulx parens meismes uniz en bonne amour les ungs envers les aultres, sans avoir guerre ou division; (JUV. URS., T. crest., c.1446, 40)
[5] Doncq' si voulez par acord estre uniz, Encontre tous serez fortz et munis, Toute chose est durable par concorde, Et se perit et destruit par discorde". (R516, 47)
[6] Et estant ainsi tout ce menu peuple congregé, le seigneur, s'addressant à sa femme, luy dist : « Viença, louve vile et detestable, puis que tu as eu le coeur si trahistre et desloyal d'introduire ce ruffien infame de nuict en mon chasteau, non seulement pour me desrober mon honneur, lequel je prefere à la vie, mais qui plus est, pour rompre en perpetuité le sainct et precieux lien de mariage par lequel nous estions liez et uniz ensemble, aussi veulx-je maintenant que de tes propres mains, par lesquelles tu me donnas le premier tesmoignage de ta foy, il soit maintenant pendu et estranglé en presence de tous, ne sçachant inventer autre supplice plus grand pour satisfaire à ta coulpe que te contraindre de meurtrir celuy, lequel tu as preferé à ta reputation, à mon honneur et à ta vie ». (S181, 133)

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