C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tyrez dans 7FMR 
1 attestations 
 Page /1 

[1] item, que les jeunes enfens yssus hors de la premiere nourriture fussent tyrez des mignotises maternelles, et, comme oisiveté et delices soient à eulz comme venin destruiseur de meurs, ordonna ycellui que separez fussent des delices des bonnes villes, et nourriz sus les champs en excercitacion d'aucun labeur, selon leur faculté et aage ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 19)
[2] Il est vray que les Latins en usent tant seulement ès vocables tyrez des Grez, ès quelz il se rencontre, comme en syllaba, lychnus, lycaon, et aultres innumerables : combien qu'il n'est pas vray semblable, qu'ilz l'ayent prononcé anciennement en i. (Z000, 44)
[3] Or quant à l'usage je ne treuve point la puissance du d, avoir esté corrompue : mais il me semble que nous en abusons en superfluité, et mesmement ès vocables tyrez de la langue Latine, comme en advenir, admonestement, advisé, et finablement en tous noms, et verbes Latins composez avecq' la preposition ad : combien qu'au demourant nous le luy ayons osté, quant il est simple, comme quant nous escrivons, d'icy à peu de jours j'yray à la romaigne, nous n'escrivons point de d avecq' a, combien qu'il soit tyré du mesme ad, dont est tyré admonestement, et adversaire, et n'est non plus de mention du d, ès ungs qu'ès autres, parquoy il est superflu. (Z000, 69)
[4] Mais quant à la difference qu'on met en avant touchant le é, masculin des noms pluriers, et des secondes personnes du plurier des verbes, de sorte qu'on veut dire, que voluptez, dignitez, et autres semblables requierent une s : et allez, venez, tyrez, ung z, il me semble que soubz la reverence de ceux qui le mettent en avant, le z, n'a point plus de puissance que l's, d'estre mis ès verbes qu'ès noms. (Z000, 73)

Fermer la fenêtre