C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tut dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Mais, si comme il est recité, Le nautonnier grant piece tut Et, comme tout pensif estut, Le roy luy demande qu'il voit ? (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 232)
[2] Atant se tut, plus ne parla, Mais grant murmure sourdi la ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 257)
[3] Atant se tut li sages homs, Qui maistre Avis fu appellez, Et d'un abit fu affublez Tel qu'il affiert a avocas. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 263)
[4] Adonc se tut la dame honnouree, et je commençay ainsi a dire: «O tres souveraine admenistreresse de la pasture et du restorement medicinable, qui ne garist pas tant seulement le malade par tribulacion navré, mais lui rend vie, force et vigour par le doulz oingnement et liqueur de ton reconfort, toy, Philosophie, l'armoire et corps de toutes sciences, lesquelles sont tes membres, je apperçoy qu'il est vray ce qui est dit de toy, si comme saint Augustin recite. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 140)
[5] " à ces mots regarda le roy sur ses oncles et se tut pour savoir et veoir que ses oncles diroient. du restorement medicinable, qui ne garist pas tant seulement le malade par tribulacion navré, mais lui rend vie, force et vigour par le doulz oingnement et liqueur de ton reconfort, toy, Philosophie, l'armoire et corps de toutes sciences, lesquelles sont tes membres, je apperçoy qu'il est vray ce qui est dit de toy, si comme saint Augustin recite. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 30)
[6] ce qu'elle se tut et pensa fu de la vertu de prudence. (Mir. nonne, 1345, 314)
[7] Berinus se tut comme cil qui estoit tous esbaÿ, et Gieffroy sailli avant et parla, si dist: "Seigneur, j'ay bien oÿ et entendu ce que cil bourgois a dit, si saray moult bien dire encontre, quant temps sera, car je sui amparler nouviaux". (Bérinus, I, c.1350-1370, 81)
[8] Et atant se tut la voix. (Bérinus, I, c.1350-1370, 242)
[9] Lors se tut Orchaz toutcoy et l'empereur dist par grant despit: "Seigneurs, regardez de ce glouton qui ne me daigne respondre a chose que je lui die ne demande. (Bérinus, II, c.1350-1370, 18)

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