C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de trace dans 7FMR 
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[1] Certainement vertu qui vient du ciel, ou habitent les choses pardurables, retient la trace et la semblance du lieu de sa nativité; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 46)
[2] Or fut l'air obscurcy de rechief, et la nuee defoullee de descongnoissance mist obstacle entre Dieu et homme par sedition de Mahommet, dont Armenie et Capadoce, Galacie, Paphagonie, Bitinie, Missie, Fragie, Libie, Carie, Licie, Mesopotamie, Syrie, Fenice, Palestine, et grant part dez regions d'Asie, aux eglises desquellez s'adressent les epytres dez apostres, toute Affrique, et aucunes provinces d'Europe vers Occident, jusquez dedens Espaigne, et vers Orient, jusquez en Trace et Pannonie, sont pervertis de foy crestienne, et infaictes par semence de zizanie et de secte nouvelle. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 117)
[3] Cellui vi je de haulte attrace, Du roy Frigia en vint la trace. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 24)
[4] En Ytalie, en mainte place, De son renom en est la trace ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 41)
[5] Les condicions et la trace De maint, qui y sont, ay compté, Et qui plus ou moins a bonté ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 79)
[6] Si fu de Trace la contree Celle dame, qui tant lettree Fu et fondee en grant science Qu'adont nul ne la passa en ce. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 282)
[7] En ce temps, a Romme apparurent Signes merveilleux, dont ilz furentPaoureux d'avoir adversité : Car trois grans loups en la cité Entrerent et enmy la place De la ville, trainant a trace, Alerent, sanz nulle parece, Un homme mort, enmy la presse ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 208)
[8] Et pour ce que suivre la voye de ceste vertu pour sa noblesse, et fuir la trace de mençonge pour sa grant vilté et lait non est chose propre plus à prince qu'à quelconques autre homme, disoit Jhesus filz Sirach : Devant toutes euvres soit veritable parolle, c'est à entendre qu'en tout quanque tu aras à faire verité soit tousjours devant, comme il ne soit quelconque chose plus vituperable, tant inpartinant, ne de plus mal renommée,ne plus lait que à dire que un prince soit mençongier. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 162)
[9] vous mondains qui naturelment desirez souverain bien, et qui tant vous penez à avoir aise, repos et parfaite felicité, certes en vain vous travailliez, dont vous ressemblez à l'omme yvre qui toute jour quiert et trace et retourner ne scet à son droit lieu, quant vous la querrez en cestui monde où elle n'est mie. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 43)
[10] De beaulz enfens a eus, pluseurs filz et filles, des quelz sanz plus .II. belles et bonnes dames sont en vie, l'une contesse de Savoye, l'autre mariée au premier né filz du duc de Bourbon, à present conte de Clermont, laquelle est dame de grant devocion et bonté, suivant la tracede sa bonne mere, de laquelle mere dient aucuns que, quant elle fu trespassée, fu trouvé en lieu de tresor plein un secret coffre de haires et cordes et choses d'abstinence et devocion. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 143)

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