C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de touz dans 7FMR 
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[1] Fault il doncq faire touz onniz Les humbles servans et les faulx, Et que les bons soient puniz Pour le pechié des desloyaulx? (CHART., B. Dame, 1424, 358)
[2] Ceste s'estent à donner voulentiers biaux dons, et quant ycelle est bien ordonnée s'empoie à IIIJ. manieres de gens pour IIIJ. raisons, c'est assavoir premierement aux povres et en choses qui touchent aumosne pour l'amour de Dieu principalment [lequel bien fait en charité est si acceptable à Dieu que sans lui nul autre ne lui pourroit plaire, et là où il est ne pourroit avoir faulte des autres vertuz, et pour ce dit l'auctorité que charité est racine de touz biens] ; (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 149)
[3] mais à tres grant quantité, comme il y pert, à leurs hoirs qui ya ne fault nommer, et de touz estaz, etc. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 158)
[4] Si n'est point de doubte que Dieu veult estre servi de gens de touz estas, et en chascun estat on se puet sauver qui veult. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 28)
[5] Item, et lui, comme circonspect en toutes choses, pour l'aournement de sa conscience, maistres en theologie et divinité de touz ordrez d'Eglise lui plot souvent ouir en ses collacions, leurs sermons escouter, avoir entour soy, lesquelz il moult honnouroit, et grandement meritoit pere esperituel, personne sage, juste et de salutable enseignement, lequel avoit en grant reverence. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 40)
[6] Là trouvast-on maintes manieres d'ambassadeurs d'estranges pais et seigneurs divers, princes estranges, chevaliers de diverses contrées, dont souvent y avoit tel presse de baronnie et chevalerie, que d'estrangiers, que de ceulz de son royaume, que en ses chambres et sales grandes et magnificens, à peine se povoit-on tourner, et, sanz faille, le tres prudent roy tant sagement et à si benigne chiere recepvoit touz, et donnoit response par si moriginée maniere, et si deuement rendoit à chascun l'onneur, qu'il apartient, que tous s'en tenoient pour tres contens etpartoyent joyeux de sa presence. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 45)
[7] Chault, furieux en nul cas n'estoit trouvé, ains amoderé en tous ses fais, contenences et maintiens, touz telz qu'apartienent à rempli de sagece hault prince. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 49)
[8] et que la trouvions entiere en nostre roy, le nous aprent l'experience de ses faiz, si comme les avons cy devant recitées et sera cy après, car, comme dit Boece, «la liberalité du prince ne s'estent pas seulement en donner dons, mais en joyeusement recepvoir touz en liberal pardon, en expedicion de causes, en audience aux povres, et à toutes choses où l'office d'amour demoustre son effett». (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 80)
[9] à yceulz faisoit du bien, donnoit largement, tenoit honnorablement, et à touz ceulz de sa courtchascun en son degré, si qu'ilz estoient richement vestus et estourez de toutes choses selon leur faculté. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 81)
[10] à ce propos d'amer bonnes gens et serviteurs preudes hommes, ce que par especial touz princes doivent avoir chiers, est escript que ou temps que Galeres et Constans tindrent l'empire de Romme, Galeres es parties d'Orient, et Constans es parties d'Occident, ce Coustant fu moult sages homs et prudent. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 102)

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