C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de touts dans 7FMR 
4 attestations 
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[1] mais audit lieu ne usent de nulle aultre eaue, car ilz sont de touts poincts assis en la mer, et est l'eaue très bonne, et en ay beü huyt moys, pour ung voyage seul, et esté une autre foiz depuis, en la saison dont je parle. (COMM., III, 1495-1498, 30)
[2] Dont par cela vois Que pas n'est ainsi des humains, Car de nature ils ont eu moins D'avantaiges : se sembleroit Qui touts ses cas assembleroit, Combien que toute beste mue, Qui est sensible et se remue, Mesmes arbres, herbes et plantes, Que tu edifies et plantes, Sont de Dieu aux hommes donnees Pour servir et abandonnees. (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 37)
[3] Car le chouse que plus li desplet, c'est ourgulh qui est le plus orrible pechié de touts les sept pechiéz mortelz et par lequel viegnent plus de mals, et qui en pechié mortel muert, il est dampnez; (6208, 20)
[4] Vous sçavés bien que vous les avés poursuivis, emprisonnés, crottonnés, faict manger aux poux et aux pusses, et pourrir en bourbier, en tenèbres hideuses et ombre de mort et finalement rostis touts vifs à petit feu, afin de les faire languir plus longtemps. (S183, 24)
[5] Ne voilà pas une belle et juste cause de brusler les gens touts vifs ? (S183, 24)
[6] Vous vous appellés Catholicques et faictes profession de maintenir la foy catholicque contenue ès Sainctes Escritures, et cependant tenés pour hérétiques et bruslés touts vifs ceux qui ne veulent croire que ce qui est contenu ès Escritures ? (S183, 24)
[7] Voudriés-vous que on vous persecutast, emprisonnast,crottonnast, fist manger aux poux et pusses, et pourrir en bourbier, en tenèbres hideuses et ombre de mort, et finalement qu'on vous rostit touts vifs à petit feu, pour n'avoir creü ou confessé quelque chose contre vostre conscience ? (S183, 24)
[8] En laquelle je profitay tellement, par la grace de Dieu et sollicitude d'un mien maistre particulier que mes parens m'avoient baillé, qu'il sembla bon à touts mes amys et parens, pour ce que pendant ce temps j'avois perdu pere et mere qui me delaisserent tout seul, que je fusse envoyé à Thoulouse, soubz la charge de mon dict maistre, pour estudier aux loix. (S184, 109)

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