C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tolli dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] Si fu la moult bien figuré Comment, ainçois que eüst duré Le monde lonc temps, par Envie, Tolli Chaïn Abel la vie, Dont Dieu le maudit par grant yre. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 139)
[2] La cité d'Albe lui tolli, Car moult bonne gent ot o lui. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 179)
[3] Alixandres s'en adouly, Car l'esperance luy tolli Celle avisïon que longtemps Fust la cité en piez estans, Mais les prestres l'ont asseuré, Et dyent que " beneüré Sera ly lieux, et que peuplee Moult yert, et de tous biens comblee. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 38)
[4] Car, comme le procés de Fortune ne peust longuement souffrir ma beneurté, se monstrant anvieuse de mon bien lors que ma gloire estoit eslevee plus que n'avoit esté puis une grant part de mon aage, me tolli le tres saige amenistreur - lasse moy! (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 23)
[5] Pour laquelle dicte Fortune, Mort, lors qu'il estoit en sa fleur, apte et apresté et sus le point, tant en science comme en sage et prudent conqueste et gouvernement, de monter en hault degré, le me tolli en fleur de jeunesce comme en l'aage de .XXXIIII. ans; (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 100)
[6] Si me tolli tantost par Mort cil qui bien me vouloit, nom pas que de legier deliberé eusse laissier France pour certaines causes, tout soit de la mon naturel païs. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 114)
[7] Toutesfois me greva elle quant me tolli ung bon ami, qui n'est petite perte, et tel que, comme la relacion de gens notables m'a dit, sanz partir de ça meismes m'eust il valu par les dessertes de mes livres. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 114)
[8] et tost aprés, lors que sa grace vers moy de plus en plus croissoit, le me tolli par Mort la desloyale? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 114)
[9] Mais non pourtant mon ignorance ne rne tolli l'aissance de sa digne parolle qui ainsi me dist : (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 117)
[10] De ce que ton mary en jeune aage Mort te tolli, dont tu te plains, je te dis que Dieux ne te fist nul tort quant son serf, pour en plus hault degré mettre, voult ravoir. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 123)

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