C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tendre dans 7FMR 
324 attestations 
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[1] Lors que ceste dame regarda cellui seigneurieux edifice et maison royal pres que de cheoir, elle, qui leans avoit esté nourrie en abondance de biens et d'onneurs, descouvry de dessoubz son mantel l'un de ses bras, couvert et paré de fleurs de lis et de daulphins en quartiers, et estaioit le costé qui plus penchoit et par pesanteur s'enclinoit et tiroit grant partie du sourplus a tendre en ruyne, et contretenoit de cellui bras le plus principal pan de mur et qui portoit le branle du seurplus, et neantmoins se desmentoit et decrevoit en pluseurs lieux et des principaulx piliers s'enclinoient aux fais des aucuns. (CHART., Q. inv., 1422, 9)
[2] Et pour savoir son euvre bien conduire, Desir l'apprent a lire et a escripre Pour mieulx entendre Tout ce qui sert au fait ou il veult tendre. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 167)
[3] Et au matin, a la messe sonner, L'amant s'en va l'eglise environner Et l'eaue benoiste a sa dame donner, Et la paix prendre Tout volentiers pour lui porter et tendre, Car c'est le bien ou il veult lors entendre Qu'aprés elle baisier sans plus attendre. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 170)
[4] En une sente me vins rendre, Longue et estroicte, ou l'erbe tendre Croissoit tresdrue et un pou mendre Que celle qui fut tout autour. (CHART., L. Dames, 1416, 202)
[5] Maiz pour entendre Son fait: depuis s'enfance tendre, Qu'il pot le pié en l'estrief tendre, Fortune ne voult plus actendre A l'assaillir; (CHART., L. Dames, 1416, 232)
[6] Maiz pour entendre Son fait: depuis s'enfance tendre, Qu'il pot le pié en l'estrief tendre, Fortune ne voult plus actendre A l'assaillir; (CHART., L. Dames, 1416, 232)
[7] Si lui rendray, Quoy que vers lui le cuer tendre ay; (CHART., L. Dames, 1416, 277)
[8] Es tu foul, hors du sens ou yvre, Ou veulx contre moy guerre prendre, Qui as fait le maleureux livre, Dont chascun te devroit reprendre, Pour enseigner et pour aprendre Les dames a geter au loing Pitié la debonnaire et tendre, De qui tout le monde a besoing? (CHART., E. Dames, 1425, 363)
[9] Maiz du doulx bien et cetera -- Vous me poués assés entendre -- Y doibs je renoncer ou tendre, Ou se ma bouche se tayra? (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 386)
[10] Chetive nature humaine, Naye a travail et a paine, De fragile corps revestue, Tant es foible, tant es vaine, Tendre, passible, incertaine, Et de legier abatue! (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 4)

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