C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tay dans 7FMR 
10 attestations 
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[1] Tay toy, tays, tu n'es c'une beste; (LA VIGNE, S.M., 1496, 263)
[2]Palhart, tay toy, Ou je te tuarey cy tout mort! (Pass. Auv., 1477, 204)
[3]Tay toy, dissimuleur, tay toy, Car il est tart! (Pass. Auv., 1477, 267)
[4]Tay toy, dissimuleur, tay toy, Car il est tart! (Pass. Auv., 1477, 267)
[5] Lieue tes yeux et regarde du lieu ou tu es et espans ta veue et regarde a destre et a senestre, hault et bas, et tu verras que toute la terre, c'est a dire ton corps qui est de terre et tout ce qui est dedans, ie la tay donnee, aussi comme sil vouloit dire: estans ta consideracion sur toy mesmes qui es terre quant au corps, tu y trouueras grant latitude de diuerses choses etmerueilleuses, et par ceste meditacion tu loueras ma puissance, ma sapience et bonte. (CIB., p.1451, 185)
[6] Et se tu me demandes par quoy ilz se tendront en hault et ne cherront point en ceste tristesse melancolieuse, ie tay respondu deuant que ce sera parleesse spirituelle par laquelle ilz se soustendront. (CIB., p.1451, 219)
[7] -- Tay toy, faulx", ce dist li estrumans, "car se Dieux m'aït, se il sont mort, ilz l'avoient bien desservy et nous mesmes y avons grans coulpes, quant a si vilaine traïson nous nous estions assenti. (Bérinus, I, c.1350-1370, 212)
[8] En laquele nuit, ainsi comme elle qui parle estoit couchée en la compaignie de sondit feu mari Drion, et que elle ot laissié l'huys de sadite chambre ouvert, ainsi comme elle ot dormi son premier somme, senti que l'en la bouta du genouil, et, en soy esveillant, oy et entendi que c'estoit ledit Thevenin Tout Seul, qui dist à elle qui parle ces moz: Tay-toy; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 57)
[9] Et ledit Hays lui respondi moult bas: Tay-toy! (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 82)
[10] Je me tay que eux-mesmes en leur associacion faite à Orléans donnent assés à entendre que ilz guerroyent pour la religion, veü que des trois causes pour lesquelles ilz se disent prendre les armes, la première est l'honneur de Dieu. (S183, 20)

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