C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de tantes dans 7FMR 
16 attestations 
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[1] " Adont se fichent li sergent Par les riches tantes notables, Et plusieurs se sirent aux tables, Qui de mengier mestier avoient, Car viandes assez y voient ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 205)
[2] Jusqu'aux tantes l'ont convoyee. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 94)
[3] Ilz n'avoient ne tantes ne pavillons, et si commencèrent en yver à entrer en Lombardie. (COMM., III, 1495-1498, 3)
[4] Toutesfoiz le sens faillit audit general, voyant que tout homme saige et raisonnable blasmoit l'alée du roy de par delà, pour mainte raison et aussi estre là au moys d'aoust, sans argent ne tantes neaultres choses necessaires. (COMM., III, 1495-1498, 34)
[5] Nous avons en tant de pardons Esté et passé tantes illes Et braz de mer et bonnes villes Que ne les sarions raconter, Et si n'est homme qui compter Nous ait sceu ne ce ne quoy D'Alexis que querons; (Mir. st Alexis, 1382, 328)
[6] Adieu, adieu, mes parens, mes amys, Oncles, tantes, nepveux, cousins, cousines, Adieu vous dy a grans et a petis, Adieu, voisins et toutes mes voisines, Adieu, varletz et adieu mes mechines, Mourir me fault se la mort ne s'abstient. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 136)
[7] Sans vous faire plus grans esloignes, Je prendray garde à voz besongnes, Combien que jambes ay pesantes Pour aller parler à voz tantes, Qui demeurent à Sainct Galmier ; (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 110)
[8] Et ce appert car le jour que le roy Jehan fut prins emprés Poittiers, qui fut l'an mil CCC cinquante et six, le prince mena le roy Jehan en ses tantes et au soupper le servit. (JUV. URS., T. crest., c.1446, 53)
[9] Aucunes genz dient que a la jambe devant on cognoist quanz anz un sangler a, quar il a tantes petites foussetes en la jambe comme il a des anz, mais je ne l'aferme mie. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 92)
[10] Et promist ledit procureur, par son serement fait es noms et es ames des diz mariez et par la foy de son corps pour ce baillee es mains des diz notaires jurez comme en la nostre, a non venir, faire ne souffrir a venir par lui ne par autres, jamais a nul jour, par quelque voie, art, cautele, lesion, erreur ou decevance, ne par aucun droit, commun ou especial, contre ceste vente ne contre aucunes des choses contenues en ces lettres, ançois sont, seront tenuz les diz mariez vendeurs et promist leur dit procureur, en nom d'eulz et de chascun de eulz pour le tout, garantir, delivrer et deffendre a leurs propres cous et despens envers tous et contre tous la ditte vente faite, comme dit est, aus diz religieus, a leur ditte eglise, a leurs successeurs et a ceulz qui de eulz auront cause, a touz jours, de tous troubles, empeschemens, debtes, obligacions, servitutes et redevances autres que dessus est dit, tantes fois et si tost que mestier en sera, en jugement et hors, et a rendre et paier a plain tous cous, mises, despens, domages et interés qui fais, eus et soustenuz seroient en ce par deffautde garantie ou autrement pour aucunes des choses contenues en ces lettres et de leurs deppendances non tenues, non gardees, non enterinees et non acomplies, seur l'obligacion que les diz mariez ont faite par la ditte procuracion et que leur dit procureur, ou nom de eulz, fist pardevant les diz notaires de tous les biens des diz mariez et de chascun pour le tout et de leurs hoirs, meubles, immeubles, presens et a venir, a justicier, vendre et exploitier par nous et noz successeurs prevoz de Paris et par toutes autres justices sous qui juridicion il seront et porront estre trouvez, pour ces lettres et les choses dedens contenues et leurs deppendances du tout en tout enteriner, tenir, garder et loyalment acomplir. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 142)

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