| [1] | si ne tairay Bien ou mal quel sache dire, Tout y ait il a redire, Ce que de son fait compris, Ou temps que ses tours appris Par divers cas, qui m'avint Par elle, par quoy devint Mon sens plus soubtil assez Qu'esté n'ot es temps passez; (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 8) | | [2] | Le plus neccessaire diray Et du seurplus je me tairay. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 100) | | [3] | Affin que mon oeuvre accomplie Soit, et que riens je n'y oublie, Ancore un pou dilateray Mon propos, car je me tairay Des choses que Fortune meine Puis hault, puis bas, en maint demaine, En touchant les vrayes histoires Des Juïfs anciennes et voires, Car leurs fais et prosperitez, Ou leur grandes adversitez, A Fortune je n'enjoing mie, Car Dieux, cui la loy ert amie, Les punissoit et meritoit, Selon leur dessarte, et metoit Puis hault ou bas, selon leur vice Ou merite, par sa justice. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 145) | | [4] | Toutes ces choses, que j'ay dictes, Furent en la paroit escriptes De la sale ou Fortune maint, Qui grief meschief livre a maint, Et plusieurs autres, dont diray Partie, et de l'autre tairay, Car ne pourroie tout compter, A grant ennuy pourroit monter ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 273) | | [5] | Le principal commencement Et comment leur print ensement De leur plus grant guerre diray, Et du seurplus je me tairay. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 199) | | [6] | Et de ce qu'entre vous tant amez les assemblemens des richesces et tant vous travailliez pour ycelles, me tairay je donc? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 132) | | [7] | J'en ay parlé icy devant: par quoy je m'en tairay. (COMM., II, 1489-1491, 177) | | [8] | J'en ay parlé icy devant: par quoy je m'en tairay. (COMM., II, 1489-1491, 177) | | [9] | Dictes après, je me tairay, Car foul et coquart le repute. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 327) | | [10] | Et cy me tairay aucun peu de Madame et de ses femmes, pour revenir a petit Saintré. (LA SALE, J.S., 1456, 51) |
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Attestation de 