C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sy dans 7FMR 
1893 attestations 
 Page /190 

[1] Si alay tout seulet, ainsy Que l'ay de coustume, et aussy Marchay l'erbe poignant menue Qui toute la terre tissy Des estranges couleurs dont sy Long temps l'yver ot esté nue. (CHART., L. Dames, 1416, 198)
[2] N'oncq je ne veiz -- ne leur desplaise, Sy en ay je cogneu beaucop -- Nul dont la fin n'en feust maulvaise, Se ne fust le bastard Bigot. (CHART., D. Her., p.1415, 427)
[3] En l'advenir que penser ne sçavons Fors que petit d'esperance y avons, Quant nous voyons France sy decheoir, Et a nous tous du dechiet mescheoir. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 2)
[4] Sy se vergongna de sa faulte, confus et humble, prest a recepvoir correction de doctrine, et en ceste vergoigne rappella a soy toutes ses officiaulx puissances dispers et esgarés es discors des mondains desirs; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 26)
[5] Sy auront frayeur du grand meschief dont Dieu lez menace. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 59)
[6] Sy n'est droit que homme se fiere En presumption si fiere Qu'adés trop doubte et enquiere Sur divine providence. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 63)
[7] Combien que tes saintes resolutions aient humilié ma pensee a bien sentir de la divine justice, sy vouldroye je bien oultre entendre comme la pugnition dez partiez de nostre royaulme dure si longuement, et que tousjours croist et aggreige puis vingt ans en ça. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 64)
[8] Sy ne sauroye reprendre ceulx qui dient que roy sans lettres est ung asne couronné. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 72)
[9] Sy est par metaphore comparable a l'oisel qui s'apelle aleron, lequel n'a point de piez pour errer sur terre, maiz est tout son mouvement par ellez qui l'essaulcent en l'air. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 87)
[10] Sy di que toutez noz attentes mondaines sont appelleez esperance par analogie et par participation, en tant que leurs fins subalternez tendent en la final et infinie fin et participent de sa bonté, de laquelle lez aultres fins particuliers prennent leur nom et leur bien. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 87)

1893 attestations 
 Page /190 
Fermer la fenêtre