C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de surquoy dans 7FMR 
6 attestations 
 Page /1 

[1] Et comme nous tousjours portans à très amere desplaisance les divisions et guerres de nostre royaume, lesquelles paravant nostre advenement à la royal majesté estoient encommenciées, et jusques à ores ont duré, à la très grant affliction, oppression et destructionde nostredit peuple, ayons, dès qu'il a pleu à Dieu nous donner eage et temps de discrecion, vacqué, entendu et traveillé, et faict plusieurs de noz parans, gens et officiers vacquer, entendre et traveillier à trouver l'appaisement desdictes divisions et guerres, et mectre paix et union en nostre royaume, et reconsilier et reunir avec nous nostre très chier et très amé frere et cousin Philippe, duc de Bourgoingne, surquoy ayent esté tenues plusieurs convencions et journées en divers lieux de nostredit royaume avec les Anglois, noz anciens ennemis, et nostredit frere et cousin de Bourgoingne, et entre autres en la ville de Nevers, en laquelle eust esté prise, accordée et acceptée autre journée et convencion en la ville d'Arras, ausquelz lieu et jornée d'Arraz ayons envoyé pour nous noz très chiers et très amez cousins le duc de Bourbon, le conte de Richemont, nostre connestable, le conte de Vendosme, grant maistre de nostre hostel, et noz amez et feaulx l'arcevesque de Reims, nostre chancelier, Christofle de Harecourt, nostre cousin, et le sire de la Fayete, mareschal de France, maistre Adam de Cambray, premier president en nostre parlement, maistre Jehan Tudert, maistre des requestes de nostre hostel, maistre Guillaume Charretier, docteur en droit canon et civil, Estienne Bernard, dit Moreau, noz conseilliers, et maistres Jehan Chastenier et Robert Malliere, noz secretaires, et tous noz ambaxeurs, et à iceulx lieu et convencion d'Arras ayent esté, de par nostre saint pere le Pape, nostre très chier et especial amy le cardinal de Saincte Croix, et de par le saint concile de Basle, nostre très chier cousin le cardinal de Chippre, et autres plusieurs prelaz etgens d'eglise notables; (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 207)
[2] Surquoy tous quatre se mirent à genoulx, se contenterent du plaisir du duc, et en sa presence toucherent ensemble; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 10)
[3] Surquoy, chiere suer, saichiez que se vous voulez ouvrer de mon conseil vous avrez grant regart et grant adviz aux facultez et puissances de vous et de moy, selon l'estat de voz parens et des miens entour quy vous avrez a frequenter et repairier chascun jour. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 9)
[4] Surquoy je vous conseille que incontinent et toutes euvres laissiees vous vous desistez de boire ou mengier a nuyt ou vespre, se trespetit non, et vous ostez de toutes pensees terriennes et mondainnes, et vous mectez et tenez alant et venant un ung lieu secret, solitaire et loing de gens, et ne pensez a riens fors a demain bien matin oyr vostre messe et aprez ce rendre compte a vostre confesseur de tous voz pechiez par bonne, meure et actrempee confession. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 12)
[5] Surquoy, chiere seur, ou cas que vous vouldriez estre mesnagiere ou introduire une autre vostre amye, sachiez que serviteurs sont de troiz manieres: les ungs qui sont prins comme aides pour certaine heure a ung besoing hastif (comme porteurs a l'enfeutreure, broutiers, lyeurs de fardeaulx et les semblabes) ou pour ung jour ou deux, une sepmaine, ou une saison, en ung cas necessaire ou penible, ou de fort labour (comme soyeurs, faucheurs, bateurs en granche, ou vendengeurs, hostiers, foulons, tonnelliers et les semblabes); (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 125)
[6] Surquoy sachiez et dictes a voz femmes que pour conserver et garder voz pennes et draps, il les convient essorer souvent pour eschever les dommages que les vers y peuent faire. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 132)
[7] Surquoy je respond, premièrement quant aux sédicions, que les fols causent le mal qu'ils cuident éviter. (S183, 70)
[8]Surquoy, Monsieur, aptes m'estre affectueusement recom mandé à vostre bonne grace et de Madamoiselle, vous avoir à tous deux presenté les recommandations de ma femme et des amis, je supplye nostre bon Dieu vous avoir tousjours en sa garde, vous consoler, fortifier et parfaire en vous tout l'oeuvre de sa gloire et de vostre salut. (S583, 143)
[9]Surquoy Monsieur, estant contrainct de faire fin, je supplye nostre bon Dieu vous avoir en sa saincte garde et vous guider par son esprit à ce qui luy est aggreable pour glorifier son nom en vous jusque à la fin. (S583, 202)
[10] Surquoy je n'insisteray pas d'avantage, encor que depuis ma premiere impression on m'ait adverti que Thevet cerchoit des memoires pour escrire contre moy, mesmes que quelques-uns de ceux qui se disent de nostre Religion luy en avoyent voulu bailler : enquoy, si ainsi est, ils monstrent le bon zele qu'ils y ont. (S746, 87)

Fermer la fenêtre