C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de soixante dans 7FMR 
259 attestations 
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[1] Selon le triomphe, par ancien et redevable usage, le jour de la Trinité, en l'an de grace mille trois cens soixante et IIII, de sa nativité le XXVIIe, cestui sage Charles, roy quint du nom, fu coronné ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 20)
[2] dont, aprés qu'il ot choisi la tierce punicion, une telle mortalité sourdi qu'en son royaume mourut soixante et dix mille hommes. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 42)
[3] Au saillir de mon enfance et en l'aage de povoir monter à cheval, fus amené à Lisle devers le duc Charles de Bourgoigne, lors appellé conte de Charroloys, lequel me print en son service, et fut l'an mil quatre cens soixante quatre. (COMM., I, 1489-1491, 4)
[4] Et, en effect, au vingt septiesme jour de juillet, l'an mil quatre cens soixante et cinq, ceste avantgarde se vint trouver auprès de Montlehery, où le conte de Sainct Pol estoit logé. (COMM., I, 1489-1491, 22)
[5] En l'an mil quatre cens soixante six, fut prins Dinant, assise ou pays de Liége (ville très forte de sa grandeur et très riche à cause d'une marchandise qu'ilz faisoient de ces ouvraiges de cuyvre qu'on appelle dynanderie, qui sont, en effect, potz et pesles et choses semblables), par ledict duc de Bourgongne, dès avant le trespas de son père le duc Philippes, lequel trespassa ou moys de juing l'an mil quatre cens soixante sept. (COMM., I, 1489-1491, 94)
[6] En l'an mil quatre cens soixante six, fut prins Dinant, assise ou pays de Liége (ville très forte de sa grandeur et très riche à cause d'une marchandise qu'ilz faisoient de ces ouvraiges de cuyvre qu'on appelle dynanderie, qui sont, en effect, potz et pesles et choses semblables), par ledict duc de Bourgongne, dès avant le trespas de son père le duc Philippes, lequel trespassa ou moys de juing l'an mil quatre cens soixante sept. (COMM., I, 1489-1491, 94)
[7] Incontinent après le partement dudict cardinal, arriva devers ledict duc ung herault appellé Bretaigne, et luy apporta lettres des ducz de Normandie et de Bretaigne, contenans comme ilz avoient faict paix avecques le roy et renoncé à toutes les alliances, et nomméement à la sienne, et que, pour tous partaiges, devoit avoir ledict duc de Normandie soixante mille livres de rente et renoncer au partaige de Normandie, qui naguères luy avoit esté baillé. (COMM., I, 1489-1491, 123)
[8] Le soir avant la prinse avoit esté deliberé de assaillir le lendemain au matin, qui estoit à ung jour de dymanche XXXe d'octobre, l'an mil quatre cens soixante huict, et prins enseignes avecques ceulx de nostre avantgarde que, quant ilz orroient tirer ung coup de bombarde et deux grosses serpentines, incontinent après, sans autres coups, qu'ilz assaillissent hardiement, car ledict duc assauldroit de son costé. (COMM., I, 1489-1491, 153)
[9] Ainsi, ledict monseigneur Charles devint duc de Guyenne l'an mil quattre cens soixante et neuf et en eut bonne possession: le pays, avec le gouvernement de la Rochelle; (COMM., I, 1489-1491, 171)
[10] et fut ladicte prinse de ces deux places l'an mil quatre cens soixante et dix. (COMM., I, 1489-1491, 197)

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