C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sceuz dans 7FMR 
17 attestations 
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[1] Aucuns ont voulu dire que ledict conte du Maine avoit intelligence avecques eulx, mais je ne le sceuz oncques ne je ne le croy pas. (COMM., I, 1489-1491, 20)
[2] dont a leurs couroux et haultes parolles,je sceuz a leurs langues quelz gens ilz estoient. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 153)
[3] Emprès Sainct Innocent Où je me sceuz bien employer, Car alors j'estoye escollier, Ung trotet ou coureux de ville. (B. veoir, p.1480, 16)
[4] Espanter fut, ne sceuz que faire. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 127)
[5] Or escoutez comment il va : Je l'entendy, se me sembla, Et si le prins a regarder, Le cueur ung peu si me troubla, Oncques je ne m'en sceuz garder, De l'ouyr me devoit tarder, Mais je ne scay qui m'affubla, Je ne me peuz contregarder Que tantost après si sembla. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 33)
[6] La couleur me print a muer Quant je vy son tresdoulx regard, Oncques ne me sceuz remuer Jusques il me dist : Dieu te gart. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 100)
[7] " Et quant il eut ouy mon compte Ainsi comme je luy sceuz dire, Si parle a moy et me racompte Comment il seuffre grief martire ; (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 192)
[8] Puis en Lorraine par tout fis ouverture, Dont je ne sceuz finablement saillir. (ANTITUS, Poés. P., c.1500, 64)
[9] Cedit jour, avant la pronunciation des arrests, ont esté presentées à la Court lettres de par monseigneur le duc d'Orleans, lettres patentes contenens que leditd'Orleans avoit escript au Roy nostre Sire que le woulsist avoir pour excusé de ce que ne avoit fait, ne ne faisoit la response à ce que les ambaxiateurs du Roy lui avoient dit, relaté et requiz de par lui, car ou Conseil du Roy avoit pluseurs de ses ennemiz que le Roy devoit tenir ses ennemiz, auxquelx ne voudroit ses faiz, response et intentions aucunement estre communiqués, ne par eulx sceuz ou cogneux; (BAYE, II, 1411-1417, 13)
[10] Et après le disner se retraist le Roy, et les principaulx de son hostel, en une chambre, et là vint le duc, son chancelier, et aultres de son conseil, et là fut commencé à ouvrir les matieres de leurs affaires, dont, à ce que j'entendiz et sceuz deppuis, et grant temps après, le plus grant affaire qui fut entre eux estoit pour les contez de Haynault, de Hollande et de Zeelande, pour ce qu'elles estoient venues par succession de madame Jaques de Haynault; (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 279)

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