C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sceut dans 7FMR 
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[1] Oncques ne sceut Que fut joie ne point n'en eut; (CHART., L. Dames, 1416, 296)
[2] Mais s'el en eust cent foiz sa foy plevie,Si ne sceut el dire faulte ou laidure. (CHART., Compl., 1424, 325)
[3] Sy entra le tyrant en la cité sans y povoir nul mal fayre, et s'en passa oultre par l'autre porte, que il ne sceut demourer. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 146)
[4] Li roys Ostes, qui estoit sire De celle terre, ot ouy dire Leur venue, si les receupt A grant honneur, car ja bien sceut Qui ilz furent, si les festoye Moult grandement et de leur voye Enquiert la cause et qui les meine ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 32)
[5] si tost qu'il l'encontre, Gracïeusement le receupt, Com cellui qui tout honneur sceut ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 90)
[6] Journees y mit plus de .XX. Li roys a grant honneur receupt Celle dame, qui tout bien sceut, Mais la joye y fu moult petite, Car de joye estoient ilz quicte ! (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 142)
[7] l'admenistracion et garde de lui commist à une bonne et sage dame,appellée Madame de Roussel, qui par grant soin le nourry, et la bonne dame, tres qu'il sceut apprendre à parler, les premieres paroles que elle lui apprist fu son «Ave Maria», et par elle fu si duit que c'estoit doulcete chose lui ouir dire enfanciblement à genolz, ses petites mains jointes devant l'ymage de Nostre-Dame ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 169)
[8] Moult fu sage cellui roy Ptholomée, et moult sceut de la science d'astronomie, et mesura la reondeur de la terre. le nourry, et la bonne dame, tres qu'il sceut apprendre à parler, les premieres paroles que elle lui apprist fu son «Ave Maria», et par elle fu si duit que c'estoit doulcete chose lui ouir dire enfanciblement à genolz, ses petites mains jointes devant l'ymage de Nostre-Dame ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 46)
[9] Cellui Charlemaine, si que tesmoigneSigibert en ses croniques, sceut plusieurs lenguages estranges ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 48)
[10] de laquel chose le roy fu moult joyeux, et en toutes manieres se pourpensa comment le pourroit selon sa dignetté honnourer et festoier, et quant il sceut le temps, tantost envoya à Reins et jusques à Moson, et à l'entrée de son royaume, par où l'Empereur devoit venir, le conte de Salebruce,de Breine, ses conseilliers, le seigneur de La Riviere dessus dit, son premier chambellen, et pluseurs autres chevaliers et gens d'onneur, pour aler à l'encontre et le recepvoir, à l'entrée du royaume, honnourablement ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 89)

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