C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sceue dans 7FMR 
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[1] Equité sera apperte, De tous sceue et experte Des jugemens la lumiere. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 63)
[2] Et anciennement Musique Ert entre gens sceue et publique, Communement tous en usoient, Leurs chants et leurs pleurs y faisoient En sons d'instrumens ou de voix Humaines, et meismes les roys ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 116)
[3] Mais quant la verité fu sceue, Et tout le voir vint a leur sceue Que de ligne royal estoient, Adont les berbis qu'ilz gardoient Laissierent ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 154)
[4] Mais quant la verité fu sceue, Et tout le voir vint a leur sceue Que de ligne royal estoient, Adont les berbis qu'ilz gardoient Laissierent ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 154)
[5] Or regardons la subtillece de l'entendement de nostre prince, comment grandement s'estendi à comprendre et concepvoir toutes choses, tant speculatives, comme ouvrables, lorsque les belles sciences estudioit, desquelles les termes savoit plainement raporter ez assemblées et congregacions des sages maistres et philosophes, parler de toutes choses si bien et si parfondemment que nul ne le passoit, et c'est chose manifeste, sceue et prouvée par gens dignes de foy, qui ce tesmoignent. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 20)
[6] et ceste verité par assez de gens encore vivans peut estre sceue. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 181)
[7] Et pour ce que je suis chose non certainement sceue, pues tu appercevoir que moy avecques esperance sur le temps a venir, par le moien de vraie foy, sommes cause du merite des vrais feaulx catholiques. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 57)
[8] et aprés la verité fut sceue par la confession meismes de ceulz qui le delit commis avoient. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 86)
[9] Pas ne l'avoie apperceue Au moustier, quise ne sceue, Il n'a tenu qu'a oubliance. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 112)
[10] -- La nouvelle de ceste bataille fut en brief temps partout sceue, especialment a la court d'Engleterre, par laquelle fut resveillie la condition du pas de Saintré, et tellement que le baron de Tresto, josne et resveillié chevalier, ayantoy dire que la lectre contenoit que aprés son pas tenu,se il estoit chevalier ou escuier de nom et d'armes sans repreuche, qui le voulsist requerir de faire aucunes armes a cheval ou a pié, que devant le roy de France, son souverain seigneur, ou son commis, en gardant Dieu son corps de peril et loyal essonne, qu'il acompliroit sa requeste. (LA SALE, J.S., 1456, 185)

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