C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de scay dans 7FMR 
237 attestations 
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[1] Je doy bien estre tenu pour excusé et delaissié pour si chetif que je suis, sansadjouster a ma misere blasme ou reproche, car douleur et mesaise me chacent a la mort si durement que je seiche sur le pié sans attente de mieulx, ne je ne scay plus sinon maudire qui ce me fait, plaignant ma grant douleur dont Dieu par sa pitié me vueille gectier et mectre briefment hors de ceste langoureuse vie, puis que desormais n'y puis demourer fors en orphanté. (CHART., Q. inv., 1422, 24)
[2] mais je n'ay veu les biensfaiz guerredonner, ne les faultes punir, si ne scay, se honte y a, qui plus en doit rougir ou ceulx qui faillent a leurs gardes defendre ou ceulx qui leur faillent de bon secours. (CHART., Q. inv., 1422, 43)
[3] je ne scay, fors que a faulte de cognoissance, et a ce que les haulx et puissans hommes, entre les grans abondances qu'ilz ont de toutes choses, ont le plus de souffrete et de despit de ouir dire verité et que par leur puissance ilz finent de toutes autres besoignes, de langues veritables sont ilz tousjours diseteux. (CHART., Q. inv., 1422, 43)
[4] Si ne les recite pas pour donner charge, mais pour y prendre adviz, et a tant suffise a chascun ce peu que j'en scay dire, car, quoy qu'il soitde petit effect, il procede de grant abondance de bon vouloir. (CHART., Q. inv., 1422, 61)
[5] Or est sans les autres tres haulx grans biens où tu habondes, comme maints en y ait, si comme titre de haute princesse, duchesse renommée entre les plus grans, habondant en honneurs, puissant en seigneurie, et grant terriene et souffisamment aisiée en richesces, quoyque non mie tant, et ce bien scay-je, que assez soit pour souffire à ce que ton tres noble et liberal cuer vouldroit bien donner aux bons et bien faire à autrui, qui seroit sans nombre. demourer fors en orphanté. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 40)
[6] Ainsi muèrent les autres degréz d'Angleterre, et division se mist entre eulx, qui a duré jusques aujourduy ou peu s'en fault, en usurpant ceulx de la maison d'Iort ce royaulme, ou l'eurent à bon tiltre: je ne scay lequel, car de telles choses le partaige s'en faict au ciel. (COMM., I, 1489-1491, 24)
[7] Toutesfois je ne le scay pas de vray. (COMM., I, 1489-1491, 50)
[8] et aussy le nom d'un aultre qui me semble desparties de France ou de Angleterre, selon le langaige de son nom, quise appelle Thomin de Pons ou de Pous, ne scay se la lettre des deuxjambes est n ou u; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 111)
[9] Certes je ne scay, fors de prier celluiqui sur tousa povoir de avoir mercy de nous. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 119)
[10] Je ne scay a qui me jouer De paour que ma vache n'avorte. (Est., p.1460, 24)

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