C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de sauvez dans 7FMR 
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[1] Dieu, qui les a voulu saulver, Doivent bien louer, qui courage Leur donna, pour leur avantage, A si noble prince eulx donner, Qui si les fait bien ordonner Par vicaire sage et appris, Qui avoir en doit loz et pris, Qu'ilz sont de celle male flame Sauvez, qui les autres enflame, Si qu'entreulx partout tire a tireSe vont occiant par grant ire. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 17)
[2] L'omme est nez tout ignorant et sans congnoissance, mais à la mort congnoist mieulx Dieu que onques mais, si se repent adont et mercie crie et par ce est sauvez, et ainsi va hors du peril où tousjours a esté. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 42)
[3] Se sauvez sont, s'esjoïront de leur gloire: se dampnez sont, seront contens de la justice de Dieu. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 49)
[4] Et loeront Dieu dont grace leur a faite que repentis et retrais se sont de leurs pechiez, par quoy ilz sont sauvez. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 49)
[5] La .VIIIe. sera la tres grant consolacion que ilz prenront l'un avec l'autre, eulx voiant si belle compaignie de sauvez en ames et corps humains, portans lumiere, où riens n'aura de lait ne vergongneux, mais apperra tout bel quanque Dieux a fourmé sur corps d'omme et de femme, lors que penitance aura tout purgié et nettoié. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 50)
[6] si fist penitence et fu sauvez. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 93)
[7] Il n'y a nul de seux qui se sont decleréz qui ne vous vousit bien de tant obligier a ly que de vous yder a retorner, vos bagues sauvez, lesant le reaume; (0304, 231)
[8] Or est li povres confundus, Lerres sauvez, preudoms pandus, Et voluntez regne pour droit; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 153)
[9] Mais j'ay le cuer forment nercy De ce qu'il dist, vous le sçavez, Qu'a paine yert li justes sauvez: Que fera donc le grant pechour, L'avaricieux, le trichour, Le mauparlant, le decevable, Le traitour, le ravissable, Le larron, le luxurieux, L'omicide et l'omme envieux, Cellui qui tant a a penser Pour mesnage faire et tanser Et pour grant chevance acquerir, Quant celli qui veult Dieu querir Et qui autre chose ne pense Dès le premier aage d'enfanse Et le requiert com pelerin, En suient le propre chemin Qu'il enseigne pour lui trover, Ne puet s'ame a paine sauver? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 352)
[10] - Encores sur ce propos vous dy je plus que cil qui entend a loialment une telle dame servir je dy que il puet estre sauvez en ame et en corps, et veez cy la raison comment. (LA SALE, J.S., 1456, 17)

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