C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de saurons dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] Jugeons les plus grans et difficilles choses par les doubtes que nous appercevons es maindres, si saurons que nulle communité ou compaignie ne se peut maintenir sans justice et mesmement entre les larrons, pour continuer ensemble et departir leurs proyes, fault il une maniere de justice garder et l'un vers l'autre, combien que justice ne soit ce pas, pour faulceté de la matiere et de l'entencion, sinon qu'elle est ainsi dicte par similitude. (CHART., Q. inv., 1422, 55)
[2] Il n'y a plus, sinon envoyer le Mareschal de Crathor o toute diligence et prendre le jour que nous saurons de ses nouvelles et là où il pourra savoir des nostres. (BUEIL, I, 1461-1466, 174)
[3] Pour ce, je desiroye, se voz oppinions se y accordent, que demain aprez la messe nous en allassions tout d'une traicte jusques à Francheville et, là, nous saurons toutes nouvelles et, selon les nouvelles que trouverons, nous besongnerons. (BUEIL, II, 1461-1466, 87)
[4] "Si, dist il, nostre juvence a en soi vigour, montons a cheval et alons soubdeinement a Rome pour veir que font nos fames, qui ne donent garde, et saurons de chascune en quele present besoingne elle serra trouvee ! (BERS., I, 1, c.1354-1359, 95)
[5] et pour le bien general de monseigneur le Roy et de ses royaumes de France et d'Angleterre, de nous et de noz seigneuries, terres, pays et subgiez, nous, et ung chascun de nous, jurons et promettons estre et demourer, tant comme nous vivrons, en bonne et vraye amour, fraternité et union les uns avecques les autres, et nous aimerons, cherirons et entretendrons comme freres, parens et bons amis, garderons et defenderons l'onneur l'un de l'autre, tant en couvert comme en appert, sans faintise ou dissimulacion quelzconques, advertirons l'un l'autre de tout ce que saurons ou entendrons estre au prouffit, dommage, honneur ou deshonneur l'un de l'autre et de nos seignouries, terres, pays et subgiez. (FAUQ., II, 1421-1430, 95)
[6] -- Item, que de toute nostre puissance et par toutes les meilleures voyes et manieres que nous saurons adviser pour le relievement du povre peuple de ce royaume, qui tant a souffert et seuffre de misere et povreté, nous nous emploierons à bouter la guerre hors d'icellui royaume et le mettre en paix et transquillité, afin que Dieu y soit servy et honnoré, et que marchandise et labourage y puissent avoir cours. (FAUQ., II, 1421-1430, 96)

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