| [1] | Pour ce, au vray, n'en saroye plusque dire, fors seullement que je estoie allé avecques ung docteur duditpaïs, nommé messire Jehan de Sore, qui me conduisoit et les gens de la villedudit lieu de Montemonaco, qui nous guidoient jusques la sans nulle aultrechose faire. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 79) | | [2] | Si bien dire ne le saroye, Saint pére; (Mir. st Sev., 1362, 218) | | [3] | Dire ne saroye conbien Dedans mon cueur mal je retien,Serré d'une vielle sainture, Puis que c'est le cours de nature. Jehan de Sore, qui me conduisoit et les gens de la villedudit lieu de Montemonaco, qui nous guidoient jusques la sans nulle aultrechose faire. (CH. D'ORLÉANS, Ball. C., c.1415-1457, 183) | | [4] | Adieu bon temps, ravoir ne vous saroye ! (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 544) | | [5] | auquel ledit duc avoit fait de si grans biens, sans l'avoir envers luy merité, et Jehan de la Roche, escuyer de cuysine de mondit seigneur de Guienne, qui estoit compaignon de ce malefice avecques l'abbé, comme meurtriers et faulx incidiateurs qui par poisons avoient empoisonné le très debonnaire et jeune princemonseigneur le duc de Guienne, estant extimé de tous medecins de longue vie, -- et n'y saroye autre chose que penser sinon que fortune eust envye de ses vertuz, de quoy leur mesfait devoit surmonter toutes paines, -- furent prins et chargés par ledit de Lescun sus ung navire et les mena au très bon duc de Bretaigne, hayant tout vice, garny de vertuz et amy parfait de tout honneur et de noblesse. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 285) | | [6] | Au regard des lettres que le roy a escriptes à Mons. le seneschal de Poictou, par lesquelles il entent et veult que on luy garde sa ville de Beauvays, je n'y saroye mieulx faire que j'ay fait et fais chascun jour, car, en tant que touche les pouldres, traict et vivres, dont nagaires m'avez escript, incontinent après la reception de vosdictes lettres, je envoyay en toute dilligence à Paris, et ay escript à Mons. de Gaucourt et à Messrs du conseil du roy qu'ilz y vueillent pourveoir en telle maniere que à ceste cause aucun inconvenient n'en puisse advenir, et desjà en ay eu responce, laquelle j'ay monstrée audit Pierre Cleret. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 295) | | [7] | mais ainçois que elle s'en apperceüst, elle ot grant merveille que ce pouoit estre, et en fu si esbaÿe que elle en mua couleur, mais les damoiselles qui estoient entour elle la reconforterent et asseürerent tant que elle sceut certainement que elle estoit ençainte de vif enfant, dont elle ot si grant joye de celle aventure que je ne le vous saroye deviser. (Bérinus, I, c.1350-1370, 7) | | [8] | -- Par ma foy", dist Ernander, "je ne vous en saroye que conseillier, car il convient, selon la convenance de vous deux, que ses .V. nefs faciez ramplir de telx papillons comme il a trouvez en vostre hostel, et il m'est advis que, en tout le monde, l'en n'en trouveroit mie autant qu'il en convient, par quoy il convient que vous mettez ceste convenance au neant, car rien vous n'y pouezconquester. (Bérinus, I, c.1350-1370, 96) | | [9] | Or avint que Grianor au nez couppé les mist a raison et leur dist: "Seigneur, je saroye voulentiers se vous retournerez en nostre païs". (Bérinus, I, c.1350-1370, 120) | | [10] | Et pour ce, se il vous vient a plaisir, je saroye voulentiers l'achoison de vostre vie, car je espoir que vous estes venuz en cepaïs pour marchander; (Bérinus, I, c.1350-1370, 135) |
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Attestation de 