C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de samedy dans 7FMR 
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[1] Le lendemain qui fut le samedy Penultime des jours du moys d'aost, Il chevaulcha jusqu'environ midy Pour s'en aller coucher a Saint Bonnot. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 155)
[2] Ma dicte dame, ainsi que me remembre, Monsieur le duc son beau filz amena Le samedy siziesme de septembre, Le roy estant encore dens sa chambre, Et avec luy joyeusement digna. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 163)
[3] Le lendemain qui fut le samedy Dixhuytiesme d'octobre, en ordonnance Fut a Rouquesse et puis aprés midy Pompeusement entra dedens Plaisance. dens sa chambre, Et avec luy joyeusement digna. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 189)
[4] Le samedy vingtcinquïesme jour Du moys d'octobre, son train bien ordonné Il se partit si tost qu'il eult digné Pour a Fournoue aller prendre sejour. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 194)
[5] Le samedy pour secourre Perruques Et faire cas de singularité, Aprés disner, en toute gayeté, Le noble roy fist son entree a Luques. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 197)
[6] Puis lendemain qui fut le samedy Il s'en alla au giste a Saint Casant. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 221)
[7] Le samedy, aprés la messe ouye, Il s'en alla voir la dicte abbaye La ou le corps saint Benoist dessus dit Gist et repose, ainsi comme j'ai dit, La ou se fait mainte bonne priere Et maincts miracles de chose singuliere. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 246)
[8] Et dit encores que les dictes faeesse mettoient en forme de tres belles femmes, et en ont pluseurs hommes prinses pour moilliers, par my aucunes convenances qu'elles leur faisoient jurer, les uns qu'ilz ne les verroient jamais nues, les autres que le samedy n'enquerroient qu'elles seroient devenues, aucunes, se elles avoient enfans, que leurs maris ne les verroient jamais en leur gesine. (ARRAS, c.1392-1393, 3)
[9] Mais, se tu treuves homme qui te veuille prendre a espouse, que il te convenance que jamais le samedy ne te verra, non qu'il te descuevre, ne ne le die a personne, tu vivras cours naturel comme femme naturelle, et mourras naturelment. (ARRAS, c.1392-1393, 13)
[10] L'ystoire nous tesmoingne que Remond et Melusigne estoient a Mervent, et vint a un samedy que Melusigne se esconsoit de Remond cellui jour, comme il lui avoit promis que jamais le samedy ne mettroit peine d'elle veoir, et si n'avoit il fait jusques a ce jour, et n'y pensoit a nulle chose du monde fors ques a bien. (ARRAS, c.1392-1393, 240)

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