C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de saigesse dans 7FMR 
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[1] C'est a dire, mon ami: Se tuas habondance de richesses, se tu as saigesse, se tu as noblesse et toute perfection de corps, le seul orgueil, se il est en toy, destruit toutes tes vertus. (LA SALE, J.S., 1456, 17)
[2] Et costé vous, nobles plains de saigesse Qui de l'emprise vous rendront fructüeux, Adnichilant les cueurs impetüeux Dessoubz qui Napples pour le temps qui court verse; (LA VIGNE, V.N., p.1495, 154)
[3] La raison si est car je sçay de vray, et telle est la commune et certaine renommee par tout, que si en moy estoit toute la dignité, la saigesse et prudence de toutes les femmes du monde, je ne sçauroye ne ne pourroye dire, proferer ne penser ta royalle Majesté plaine de bonté, de si grant et bienheuré renom que nul homme, nul roy, nul prince ne nul seigneur vivant en ce monde ne peult attaindre ne approcher. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 297)
[4] Paris ou gist toute saigesse, Pour ressourdre nostre foiblesse, Tu as resjouy ung chascun. (Sots, c.1480-1500, 272)
[5]Mere, monstrés Vostre saigesse Pour noz actrés, -- car trop nous presse Vostre tristesse, Qu'ainsi veyons, Et nous mect ad ce -- que ne creyons. la dignité, la saigesse et prudence de toutes les femmes du monde, je ne sçauroye ne ne pourroye dire, proferer ne penser ta royalle Majesté plaine de bonté, de si grant et bienheuré renom que nul homme, nul roy, nul prince ne nul seigneur vivant en ce monde ne peult attaindre ne approcher. (Pass. Auv., 1477, 240)
[6] Sy me juge bien estre ung neant au regart de vostre haultesse, estre une chose nice et fole au regart de vostre saigesse sans nombre, estre une chose vaine et vile au regart de vostre bonté. (GERS., Trin., 1402, 164)
[7] «Belle seur, disoit Raison a l'Ame, tu es la tres belle ymaige, laquelle Dieu, le souverain Maistre, a voulu faire pour monstrer son art par dehors, sa puissance, sa saigesse et sa benivolence ; (GERS., Trin., 1402, 166)
[8] il convient qu'il soit moult saige : je congnoys doncques une saigesse et non mie par aucun de ces sens corporelz. (GERS., Trin., 1402, 168)
[9] De ce vient que aucune foys une simple personne qui sera devote et aymeraDieu, aura trop plus haulte et digne congnoissance de la Divinité, de sa puissance, saigesse et bonté, et de sa doulceur et benignité que n'ont eu les philosophes, ou que n'ont eu pluseurs grans clers theologiens et autres qui sont sans amour et sans devocion. (GERS., Trin., 1402, 170)
[10] Pense icy le Dieu de toute saigesse qui ne dit mot entendible nez ung ignorant. (GERS., Noël, p.1404, 295)

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