C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de rompe dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] L'amant se trompe, Qui voit sa dame en feste ou pompe, Car ou il faut que le cuer rompe Ou que le semblant se corrompe. (CHART., L. Dames, 1416, 270)
[2] Mais qui commence temprementEt il a bon commancement, Mais qu'il ne rompe le loien, Il doit venir a bon moien. (MACH., D. Aler., a.1349, 240)
[3] Car il n'y ara sur vous vaine, Quant venra a l'enfantement, Qui ne rompe, fors seulement Du petit doit. . (Mir. enf. ress., 1353, 20)
[4]Mes amies, voir, il me semble C'om me rompe, bien dire l'os, Les reins au travers et le dos Au lonc. (Mir. fille roy, c.1379, 18)
[5] Et si y a ung aultre grant point, car il est a doubter que tout ne rompe par la povretédu peuple, qui n'a plus rien, comme pourra estre touché cy aprez. (JUV. URS., Verba, 1452, 265)
[6] Et aucunefoiz quant l'en en peut finer, il convient avoir des jennes piatz et les y faire voler aux champs, et estre garny d'unes petites turquoises propres a ce, afin que si tost que l'esprevier avra lyé le piat l'en lui rompe les jambes et le becq, afin que l'esprevier en soit tousjours au dessus et ait l'aventaige du piat sans estre blechié. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 155)
[7] Et se l'en ne peut finer de piat, mais seulement de forte pie, il convient que l'en lui oste et rompe le becq et les ongles et deux ou trois des maistres plumes de chascune elle. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 155)
[8] puis rompe la teste a l'oisel et du cervel paisse son esprevier. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 158)
[9]Redressez bien droit à mont tous les bouts qui sortirontde la terre, de telle hauteur que faire pourrez, et les laissez ainsitrois ou quatre ans sans les rayonner, jusques à ce que leursracines ayent prins terre, et soyent desja bien cheveluës, et picquezdes bastons à l'environ pour les dresser et garder qu'onne les rompe. ait l'aventaige du piat sans estre blechié. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 66 r°)
[10]Redressez bien droit à mont tous les bouts qui sortirontde la terre, de telle hauteur que faire pourrez, et les laissez ainsitrois ou quatre ans sans les rayonner, jusques à ce que leursracines ayent prins terre, et soyent desja bien cheveluës, et picquezdes bastons à l'environ pour les dresser et garder qu'onne les rompe. ait l'aventaige du piat sans estre blechié. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 66 r°)

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