C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de rin dans 7FMR 
37 attestations 
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[1] Ramentez a toy mesmez Childerich, tiers roy de France, chassé de son pays en Lorraine, et privé de sa couronne royal, et te souvienge que par aprés le restablirent lez Françoys a honneur et a gloire, et engendra Clovis le fort roy et premier crestien, qui mist en sa subjection toute la terre d'entre le Rin et lez grans montaignez Pyraines. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 143)
[2] Je veïz venir vers ledict duc le conte palatin du Rin,pour le veoir. (COMM., I, 1489-1491, 139)
[3] à la querelle de deux pretendans à l'evesché de Collongne, dont l'ung estoit frère du lentzgrave de Hesse, l'autre parent du conte palatin du Rin, ledict duc de Bourgongne tint le party dudict palatin et entreprint de le mectre par force en ceste dignité, esperant en avoir quelques places. (COMM., II, 1489-1491, 6)
[4] Encores fut faicte une paix entre le duc Sigismond d'Autriche et les Suysses, tendant à ceste fin que ledict duc Sigismond voulsist reprendre la conté de Ferrecte, laquelle il avoit engaigée au duc de Bourgongne pour le pris de cent mil florins de Rin. (COMM., II, 1489-1491, 16)
[5] Ceulx qu'on appelle en ce quartier les Nouvelles Alliances, ce sont les villes de Basle et Strasbourg et autres villes imperialles qui sont au long de ceste rivière de Rin, lesquelles, d'ancienneté, avoient esté ennemyes desdictz Suysses, en faveur du duc Sigismont d'Autriche, duquel ilz estoient alliéz par le temps qu'il avoit guerre avecques lesditz Suysses; (COMM., II, 1489-1491, 100)
[6] Et se print à leur promettre pension, qu'il paya biendepuis (mais il veït la seconde bataille avant), et leur promist quarante mil florins de Rin tous les ans, les vingt mil pour les villes et les autres vingt mil pour les particuliers qui avoyent le gouvernement desdictes villes. (COMM., II, 1489-1491, 115)
[7] Et ne pense point mentir de dire que je croy que, depuis ceste première bataille de Granson jusques [au trespas de]nostre roy, lesdictes villes et particuliers desditz Suysses ont amendé du roy nostre dit maistre d'un million de florins de Rin, et n'entendz les villes que quatre: Berne, Lucerne, Fribourg, Suric et leurs cantons, qui sont leurs montaignes. (COMM., II, 1489-1491, 116)
[8] Il avoit esté nourry en Bourgongne, c'est assavoir en ceste dicte maison de Bourgongne, et de tout temps en avoit eu six mil florins de Rin de pension, par quoy, oultre le parentaige, y venoit parfois comme serviteur. (COMM., II, 1489-1491, 195)
[9] Ceulx qu'on appelle en ce quartier les Nouvelles Alliances, ce sont les villes de Basle et Strasbourg et autres villes imperialles qui sont au long de ceste rivière de Rin, lesquelles, d'ancienneté, avoient esté ennemyes desdictz Suysses, en faveur du duc Sigismont d'Autriche, duquel ilz estoient alliéz par le temps qu'il avoit guerre avecques lesditz Suysses; (COMM., II, 1489-1491, 100)
[10] Et se print à leur promettre pension, qu'il paya biendepuis (mais il veït la seconde bataille avant), et leur promist quarante mil florins de Rin tous les ans, les vingt mil pour les villes et les autres vingt mil pour les particuliers qui avoyent le gouvernement desdictes villes. (COMM., II, 1489-1491, 115)

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