C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de recoivent dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] Moult voulentiers la verité Je sceusse de celle gent, Et celle qui fu diligent Tousdis de m'aprendre et monstrerToutes choses et demonstrer Me dist adont que ycelle gent Estoient comme li sergent Et serviteurs et serveresses Tres diligens et sanz pareces Des intelligences haultaines Que lassus, en places certaines, Avoie veu, et ceulx recoivent Leurs commandemens comme ilz doivent, Obeissans sanz desrouter. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 90)
[2] Cestes yci le monde ordonnent, Mal et bien, joie et dueil y donnent, Selon qu'il leur est commandé Du hault cours du ciel et mandé, Dont elz recoivent, je n'en mens, Les singuliers commandemens, Puis au monde jus les envoient. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 92)
[3] et avec ceste folie recoivent l'ennemi d'enfer, et renvoient le Saint Esperit ; (GERS., Pent., p.1389, 79)
[4] se ilz font aucuns biens ou apparence de bien, ilz recoivent yci leur louyer ou en richesses ou en vaine gloire ou en plaisir mondain. (GERS., Déf., 1400, 224)
[5] Pareillement dy je de ceulz qui recoivent les biens des mors pour les delivrer en jusnant et priant, etc.. (GERS., Déf., 1400, 233)
[6] C'est comme l'enchanteur du dyable qui fait apparoir ce qui n'est pas, dit de blanc noir et de noir blanc, et tourne en folie et frenesie ceulx et celles qui le recoivent, quer il occist Verité ; (GERS., Annonc., a.1400, 234)
[7] Item, la Court a enjoint aux generaulz maistres des monnoies du Roy que, selon les ordonnances royaulz faictes sur le fait d'orfavrerie, ilz ne recoivent doresenavant aucun à estre maistre dudit mestier d'orfavrerie, soit grossier ou menuyer s'il n'est approuvé et tesmongnié souffisant par les maistres gardes du mestier, et qu'il leur baille pleges de dix mars d'argent, s'il n'est de soy bien resseant, et que s'aucuns en y a qui ne leur ayent fait le serement et baillié la dicte caucion, qu'ilz leur facent faire et baillier, et que lesdis generaulz maistres des monnoies visitent diligemment les euvres d'orfavrerie, en quelque lieu de Paris ordonnez à vendre que trouver les pourront. (FAUQ., II, 1421-1430, 304)
[8] cheulx qui recoivent de tous, che sont les plus riches des aultres. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 45)

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