C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de rechoit dans 7FMR 
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[1] les aultres s'arrestent ou moyen touchans le merveilleux mistere de l'Incarnation, Passion et Resurrection, et Ascension, qui plus aprouchent de nostre humanité, et nous monstrent la mortification de pechié par la vivification que l'omme rechoit conjoinct a deité, et la vie de grace par la mort que Dieu souffrit en sa divinité jointe avecquez humaine nature. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 28)
[2] Las, si me feroit Grans secours, Car nuls ne creroit Q'uns amans rechoit De dolours, Quant sa dame voit Jetter ou que soit Ses amours, Fors a li, qui doit Sentir, s'on voloit, Les douchours conjoinct a deité, et la vie de grace par la mort que Dieu souffrit en sa divinité jointe avecquez humaine nature. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 161)
[3] J'ay estre et nom de precieuse essence, Le corps moult noble et de digne matere, Lequel rechoit du ciel la relucence Et porte en terre hautain fruit et mistere; (5425, 149)
[4] Et se chieux ert vilains homs dis, Honnourez en est grandement : Ainsy rechoit chieux et ly rent Le bien que celle ly presta Quant de fait d'armes l'avoya. (Dit prunier B., c.1330-1350, 42)
[5] Berte le Sourde dist que, qui ne rechoit de l'eaue benoite le dimence, le dyable lui puet et jour et nuit asseoir invisiblement sur l'espaule. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 98)
[6] Mais en lasimbolique Dieu est nommé par les creatures de dehors, lamistique par les choses de dedens et par les plus dignes desirset affections, lesquelz l'ame rechoit par dessus elle. (Somme abr., c.1477-1481, 154)
[7] Etainsi on dist que l'antecedent et son object est la voulenté de Dieuprecedente, et l'object est cellui qui rechoit la grace faisant et acomplissant la voulenté de Dieu selon la disposition de laprescience, et apelle on ledit object le bien deu a nature. (Somme abr., c.1477-1481, 169)
[8] Item Dieu par sa misericorde rechoit joyeusement le pecheurretournant envers lui, et esmolit son cuer a faire penitance, et legierement pardonne l'offence, et aprez le pardon plus ne lui souvient de l'injure a lui faicte. (Somme abr., c.1477-1481, 180)
[9] Anthoinele rechoit et donne le nom. (Sacr. mar., c.1477-1481, 54)
[10] L'aultre est dicte paternité, et ceste est entendue entre celluiqui estreceu des fons et cellui qui le rechoit, soit masle ou femelle. (Sacr. mar., c.1477-1481, 54)

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