C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de recepvoir dans 7FMR 
126 attestations 
 Page /13 

[1] Sy se vergongna de sa faulte, confus et humble, prest a recepvoir correction de doctrine, et en ceste vergoigne rappella a soy toutes ses officiaulx puissances dispers et esgarés es discors des mondains desirs; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 26)
[2] Maiz qui veult cler percevoir, Et droit conseil recepvoir, D'orgueil se doit remouvoir,Et pourvoir Qu'arrogance ne lui mente. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 84)
[3] Lors en faisant son devoir Peult lez sept dons recepvoir, Que Saint Esprit fait plouvoir, Et ravoir Grace prouchaine et presente. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 85)
[4] Pou devoient de leur requestes s'efforcer ne fier, quant ilz supplioient humblement a ceulx a qui eulx seulx attribuoient la faculté de ottroier, et attendoient recepvoir les biens en vertu de ceulx qui sans eulx n'avoient aucune vertu. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 114)
[5] Et ce fust l'achoison qui si long temps endurcy les courages dez Romains contre la doctrine catholique, dont la terre romaine fut consacree du sang de tant de martyres, ains que les empereurs voulsissent recepvoir le nom crestien, imputans a criminelle inconstance et mesprison contre leur sang et leurs ancesseurs se ilz trespassoient la religion de leurs peres et les traditions de leurs majours. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 115)
[6] Bien dot trembler, a dire voir, De tant sang humain recepvoir ! (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 209)
[7] Adonc lui, tres benigne, après que son humilité m'ot rendu plus mercis qu'à [recepvoir à]ma petitece n'apertenoit, me dist et declaira la maniere et sur quoy lui plaisoit que je ouvrasse, et, après maintes offres notables receues de sa benigneté, congié pris, avecques la charge agreable, que je reputay commandement plus honourable que moy ydoine ou digne de le souffisamment accomplir. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 8)
[8] et, pour ce, à ce propos treuve l'en en maintes escriptures que anciennement aux enfans des roys et princes, comme autrefois ay parlé sur ceste matiere, estoient quis sages maistres philosophes, lesquelz en avoient l'administracion et gouvernement jusques ad ce que ilz fussent parcreus et enforcis si que ilz fussent ydoines à soustenir le fais des armes, et adonc estoient livrez à la chevalerie, es mains des sages chevaliers expers en telle discipline, car n'est mie doubte, comme il est dit par maint autteur, tout ainsi comme la cire est apte et preste à toute emprainte recepvoir, est l'engin de l'enfent disposéà recepvoir telle discipline comme on lui veult baillier et aprendre ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 18)
[9] et, pour ce, à ce propos treuve l'en en maintes escriptures que anciennement aux enfans des roys et princes, comme autrefois ay parlé sur ceste matiere, estoient quis sages maistres philosophes, lesquelz en avoient l'administracion et gouvernement jusques ad ce que ilz fussent parcreus et enforcis si que ilz fussent ydoines à soustenir le fais des armes, et adonc estoient livrez à la chevalerie, es mains des sages chevaliers expers en telle discipline, car n'est mie doubte, comme il est dit par maint autteur, tout ainsi comme la cire est apte et preste à toute emprainte recepvoir, est l'engin de l'enfent disposéà recepvoir telle discipline comme on lui veult baillier et aprendre ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 18)
[10] et que la trouvions entiere en nostre roy, le nous aprent l'experience de ses faiz, si comme les avons cy devant recitées et sera cy après, car, comme dit Boece, «la liberalité du prince ne s'estent pas seulement en donner dons, mais en joyeusement recepvoir touz en liberal pardon, en expedicion de causes, en audience aux povres, et à toutes choses où l'office d'amour demoustre son effett». (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 80)

126 attestations 
 Page /13 
Fermer la fenêtre