C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de rabatre dans 7FMR 
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[1] Lors le jeune vassal despit Lui dist: " Beau sire, quant je y pense Il me semble que ces villains Ont trop beau compter sans rabatre, Car ilz ne sont jamaiz contraings [De soy] faire tüer ne batre ". (CHART., D. Her., p.1415, 435)
[2] Et si les ouy moult debatre D'aucunes coustumes rabatre Ou ordenances non pas bonnes. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 51)
[3] .Vc. ans et .LXIIII. Ot duré d'Arges, sans rabatre, La seigneurie, qu'elle ot eue, Quant par Perseüs fu vaincue ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 277)
[4] Layus, qui les veoit combatre, Lui en poyse, et cuide rabatre Leur courrous et entreulx paix faire ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 288)
[5] Tu as trop compté, sanz rabatre ! (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 136)
[6]Aprés qu'ot .IIIIc. et .IIII. Vins ans entiers, sanz riens rabatre, Que Romme fondee ot esté, Puis hault, puis bas en poesté, Merveilleux signes apparurent, Dont Rommains moult grant freyeur heurent, Car sang sourdy parmy les veines De terre, dont pluseurs fonteines Decourant aloyent de sang, Dont tout estoit rougy le fang ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 210)
[7] Une pestilence sourdy Ou pays, qui si estourdy Gent et conquist de maladie Qu'adont n'y a celluy, qui dye Qu'il hait voulenté de combatre, Tant les faisoit le mal rabatre. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 228)
[8] Mais pour ce que aucunes nous pourroient par aventure ycy respondre que nous comptons sans rabatre - c'est assavoir que nous disons a toutes fins que les dames doivent tant amer leurs seigneurs et en monstrer les signes, mais nous ne parlons mie se tous desservent vers leurs femmes que on leur doye ainsi faire, pour ce que on scet bien que il en est de telz qui se portent vers elles tres felonnessement et sans signe de nulle amour, ou bien petite - si respondons a ycelles que nostre doctrine en ceste presente oeuvre ne s'adrece pas aux hommes, quoy que il fust besoing a tout plein que bien fussent endoctrinéz. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 54)
[9] Mais trop vous tenez mal contens Et menacez de moy rabatre, Se par tout ne me vois combatre ; (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 128)
[10] Je lui feray ja tost rabatre Ses paroles, car trop me blece Le grant los que donne a noblece, Sanz chevalerie nommer, Sanz qui on ne la doit amer. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 160)

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