C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de rabatoit dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] et l'entrepreneur soubstenoit et rabatoit moult froidement et asseurement, comme celluy qui autresfois avoit esté en celuy estroit passaige de combatre en champ cloz et soubs jugement, car il avoit combatu, en la ville de Sainct Omer, ung chevalier d'Espaigne nommé messire Gotiere, l'ung des plus redoubtez chevaliers de toutes les Espaignes. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 122)
[2] et, de la main dextre, à l'ayde de la hache, rabatoit tous les coupz que l'Angloix gectoit sur luy, fors d'estoc ou de mail. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 127)
[3] Mais le seigneur de Haulbourdin rabatoit froidement les coups dudit messire Bernard; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 132)
[4] et ledit Gerard soubstint froidement lespremiers coups, et couraigeusement, et rabatoit les copz et le chevaleureux assault de messire Jaques de Lalain, par moult grande asseureté; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 165)
[5] mais l'escuyer, qui moult estoit puissant, rabatoit et se deffendoit de l'emprinse de son compaignon, et d'ung rabat rompitla dague de la hache dudit messire Jaques; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 195)
[6] et quant l'escuyer s'aperceut que le baston du chevallier estoit empiré, assaillit moult vigoureusement, et messire Jaques, qui moult fut asseuré en tous ses faictz, marcha plus près de son compaignon, et rabatoit l'assault de l'escuyer de si près, qu'il l'empeschoit de faire atteinte ne de l'ung des boutz ne de l'aultre; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 196)
[7] et messire Jaques tenoit en sa main dextre sa hache empoingnée près du maillet, et ferit par plusieurs cops de la dague de dessus, après le visaige de son compaignon, et dont l'escuyer rabattit plusieurs cops de son poing dextre dont il avoit cloz le gantelet, et rabatoit, comme dit est, l'assault du chevallier moult vigoureusement, et feroit l'escuyer, le gantelet cloz, de toute sa force, après le visaige du chevallier, et lequel, à chascune fois, rabatoit le cop du cousté et du bras dont il tenoit la hache de son compaignon; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 198)
[8] et messire Jaques tenoit en sa main dextre sa hache empoingnée près du maillet, et ferit par plusieurs cops de la dague de dessus, après le visaige de son compaignon, et dont l'escuyer rabattit plusieurs cops de son poing dextre dont il avoit cloz le gantelet, et rabatoit, comme dit est, l'assault du chevallier moult vigoureusement, et feroit l'escuyer, le gantelet cloz, de toute sa force, après le visaige du chevallier, et lequel, à chascune fois, rabatoit le cop du cousté et du bras dont il tenoit la hache de son compaignon; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 198)

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