| [1] | par quoi, en la fin, non obstant que, après ce que par l'aide de celle gent françoise, qui orent tant fait que le frere bastart fut couronné roy d'Espaigne et chaciez Pietre, lequel Pietre s'enfui et ala requerir aide au roy d'Engleterre, auquel aide ala en personne l'ainsné filz du dit roy Edouart, dit le prince de Gales, avec grant foison d'Anglois, par lequel aide fu remis Pietre en son reaume et François desconfis, et Bertran de Clequin et pluseurs François pris, et, après ces choses environ l'espace de .III. ans, Bertran de Clequin par reançon delivré, rala Henri en Espaigne, avec lui Bertran et foison François, et, aidé du dit pais d'Espaigne, fu remis comme roy ou reaume, et, conquis tout le pais ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 124) | | [2] | Et pour toucher en brief de toutes, sans declairier chascune chose particulierement, comment ce peuent prendre les figures baillees en ceste dicte partie, par quoi on pourra par les plus obscures choses declairier entendre les plus legiers et la sentence du dictié, est asavoir que songe puet estre pris pour pensee, pelerinage pour vie humaine. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 3) | | [3] | Mais de quoi le paist elle? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 5) | | [4] | Les divers outilz sont gens de diverses prophecions, de quoi foi catholique qui les a mis ou ventre de l'Eglise fait naistre saintes operacions en maintes guises. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 5) | | [5] | ou pour estre passionnéz aux matières de quoi l'on parle ou par amour ou par hayne ou pour vouloir dire l'opposite d'un autre, et aucunes fois pour la disposition des personnes: car on ne doit point tenir pour conseil ce qui se fait après disner. (COMM., I, 1489-1491, 103) | | [6] | Et pour ce est chose neccessaire En pluseurs lieux de l'ainsi faire, Et c'est pour quoi certainement T'avons tenu si longuement. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 18) | | [7] | " Et ailleurs disoit en latin, De quoi le françois veult retraire, Qu'om ne doit nulle chose faire Sanz conseil, car qui de lui euvre, A bonne fin vient de son euvre; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 19) | | [8] | De quoi chascun fut esbahis, Mais au fort chascuns s'assambla; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 33) | | [9] | De telz labeurs ne t'entremet De ta force et de ta louenge Destruire en la maison estrange, Car, se tu le fais, tu diras, Quant ton corps exillié verras: " Pour quoi n'ay je crut discipline? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 186) | | [10] | la bonne odeur Ne leur laisse sentir ne querre Pour les vanitez de la terre, A quoi ilz sont trop ahurté. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 234) |
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Attestation de 