C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de queues dans 7FMR 
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[1] puis après, par la cognoiscence manifeste d'icelles, en procedant plus oultre, ilz pristrent à speculer sus plus occultes choses, si comme des passions de la lune, comme sont eclipses, et que elle est enluminée plus une fois que aultre, des choses acheans au soleil et aux estoilles, comme sont diverses apparences qui avienent en elles, si comme cercles, halo, queues, ou icelles besoignes ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 170)
[2] Adonc prist cellui Sanson plusieurs goupilz que on dit renards et ensemble les acoupla, et par les queues les ungs aux autres les lia, et feu sagement mis y atacha. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 36)
[3] Trainez aux queues des chevaux En fut Gannelons li traitres, A qui vous faire la feistes. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 356)
[4] Aprés le heaume venoit Saintré sur un tresbel et fringant destrier qui en son chief portoit un chanfrain d'acier a trois grans plumes a façon d'ostrisse et a ses trois couleurs tres richement brodees, lui et son destrier houssez d'un saptin cramoisy tout semé a queues d'ermines et bordé de grans franges d'argent copponnees de soye a ses trois couleurs, sur son chief un tresbel et frisquechappel de plumes, et lui armé de ses avambras, harnois de jambes et soulerez sans plus, et en sa main droicte sa bannerolle, ou estoient Nostre Dame et son Enfent, de laquelle de pas a pas il se seignoit. (LA SALE, J.S., 1456, 111)
[5] la furent maintes banieres levees, et copees les queues a mains penons. (LA SALE, J.S., 1456, 214)
[6] CXI Item, a l'Orfevre de Boys Donne cent clouz, queues et testes, De gingembre sarrazinoys, Non pas pour acouppler ses boictes, Mais pour joindre cuz et couëctes Et couldre jambons et andoulles, Tant que le let en monte aux tectes Et le sang en devalle aux coulles. queues d'ermines et bordé de grans franges d'argent copponnees de soye a ses trois couleurs, sur son chief un tresbel et frisquechappel de plumes, et lui armé de ses avambras, harnois de jambes et soulerez sans plus, et en sa main droicte sa bannerolle, ou estoient Nostre Dame et son Enfent, de laquelle de pas a pas il se seignoit. (VILLON, Test. M., 1461-1462, 94)
[7] En ce païs a bons blez et bons vins, et y croist assez sucre et coton et s'i font les camelos qui vallent moult d'argent au Roy et y a grans moutons qui ont queues d'un pié de large, il ne sont point bons à mengier, on ne mengue en ce païs que chievres et chevreulx. (6204, 69)
[8]Fu defendu de par le Chancellier aux charretiers de Troyes, qui avoient chargié sur leur char II queues pleinnes des procès de Champaigne estans ceans pour mener à Troies, et pluseurs autres queues et poinsons pleins des habillemens et besoignes tant des seigneurs de ceans que d'advocas et procureurs de Parlement, que ne partissent jusques à ce que averoient autres nouvelles, car l'en disoit que pour ce que la Royne et le Dauphin, qui estoient et avoient esté à Meleun longuement, devoient venir à Paris, si faisoit la duchesse d'Orleans aussi, qui par avant estoit à Bloiz, pour requerir justice contre le duc de Bourgoigne qui avoit fait occirre le feu duc d'Orleans son mari, pere du duc d'Orleans à present, et son filz, et qui estoit frere du Roy, et pour ce faloit que les seigneurs demourassent à Paris avec tous les presidens, et si disoit l'en que les païz, par especial de Champaigne, estoient garni de gens d'armes. (BAYE, I, 1400-1410, 237)
[9]Fu defendu de par le Chancellier aux charretiers de Troyes, qui avoient chargié sur leur char II queues pleinnes des procès de Champaigne estans ceans pour mener à Troies, et pluseurs autres queues et poinsons pleins des habillemens et besoignes tant des seigneurs de ceans que d'advocas et procureurs de Parlement, que ne partissent jusques à ce que averoient autres nouvelles, car l'en disoit que pour ce que la Royne et le Dauphin, qui estoient et avoient esté à Meleun longuement, devoient venir à Paris, si faisoit la duchesse d'Orleans aussi, qui par avant estoit à Bloiz, pour requerir justice contre le duc de Bourgoigne qui avoit fait occirre le feu duc d'Orleans son mari, pere du duc d'Orleans à present, et son filz, et qui estoit frere du Roy, et pour ce faloit que les seigneurs demourassent à Paris avec tous les presidens, et si disoit l'en que les païz, par especial de Champaigne, estoient garni de gens d'armes. (BAYE, I, 1400-1410, 237)
[10] Et, le lundi ensuivant, second jour de septembre, oudit an LXV, monseigneur du Maine, qui estoit logé à Paris devant l'ostel du roy, envoya à monseigneur le duc de Berry deux muys de vin vermeil, quatre demies queues de vin clairet de Beaune et ung cheval chargé de pommes de chou et de raves. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 99)

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