C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de questions dans 7FMR 
117 attestations 
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[1] Celle replique finie, combien que chascun s'efforçast de adjouster aucune autre chose, la dame dessus escripte leur commanda silence garder et puis fist conclusion a leurs argumens et questions en parlant ainsi: FRANCE. (CHART., Q. inv., 1422, 64)
[2] Si fu voir qu'au commencement Du siecle, bestialement Vivoient la gent, mais, tantost Qu'ilz virent, si com Dieu le volt, Et apperceurent et cogneurent Le bien d'entendement, et urent La cognoiscence de raison, Enquerre vouldrent l'achoison Des choses faites et requises, A leur premiere cause quises, Lesquelles sont appertenans A Philosophie et tenans, Par quoy en .III. questions cheurent :La premiere, en quoy ilz encheurent, Estoit de savoir la nature Des choses celestiaulx pure, La secunde des terriennes, Et la tierce estoit des humaines ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 105)
[3] Et puisque ces .III. questions Furent par grans digestions Ventilees et bien traictees, Longuement par ceulx accointees, Qui philosophes erent sages, Ilz trouverent es bons usages De Philosophie leur mere, Qu'ilz ne trouverent pas amere, .III. membres principaulx notables De sciences tres enseignables, A prouver les vrayes raisons Des .III. causes, que devisons. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 106)
[4] La premiere enseigne contendre, Tencier, disputer et entendre A questions former et mettre En ordre, par dit ou par lettre. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 129)
[5] La seconde enseigne a sauver Ce que l'on a dit et prouver Par argumens bons et notables Et par questions veritables ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 129)
[6] " Dyaletique est exposee De .II. noms et entreposee : De dya., qui .II. vault entendre Et de logoz., que l'en peut prendre Pour parolle, si est a dire : Parolle qui a .II. se tire, C'est assavoir a l'exposant Et au respondent, en disant En disputaison argumens, Plusieurs questions affermans. , que devisons. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 130)
[7] " Ysidore, ou premier chapitre D'Ethimologies, le tiltre De Rethorique volt escripre, Dist que " science est de bien dire, Pour la coppie d'eloquence, Ordre de droicte consequance Neccessaire en toutes similes Questions, plaines ou soubtilles, A persuader choses bonnes Et justes es fais des personnes. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 132)
[8] CY DIT ENCORES DE PACIENCE ET COMMENT ELLE DOIT ESTRE ENTENDUE EN CE QUI TOUCHE JUSTICE De ces tribulacions porter paciemment, avant que pluspasse oultre, afin de mieulx entendre et à parler clerement, pour ce que aucunes questions pourroient estre faites, à savoir, se pour obeir à pacience on est tenu d'endurer les torffais receus du prouchain et cet., pour venir à respondre à ceste question est à savoir que par .II. manieres d'occasions viennent et sourdent communement troublemens de courage et contaminacions de pensée, dont l'une vient et est la pire et qui plus à haute gent messiet à cause d'orgueil et oultrecuidance ou de mauvaise acoustumance par la mignotise de trop aise, de non vouloir riens souffrir; (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 29)
[9] Lors joieuse d'estre pervenue a si noble université, volontaire de mon sens par leur savoir prouffitablement inbuer, m'arrestoie entre les escoliers de diverses facultez de sciences disputans ensemble, de maintes questions fourmans plusieurs argumens. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 51)
[10] Puis fut baillé au sire de Roqueton ung jeune homme entre les autres qui avoit grant voulloir et bon desir d'apprendre et faire ce que on lui commanderoit, nommé Guyon de Perrouse, lequel fist au sire de Roqueton plusieurs questions pour savoir qu'il avoit à faire au quartier, dont il avoit la charge defaire le guet. (BUEIL, I, 1461-1466, 202)

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