C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quelconque dans 7FMR 
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[1] A lui est adjointe, Et n'est nul qui l'en despointe Par quelconque voie. (CHART., L. Plais., c.1412, 151)
[2] Assés devoit estre assouvie ta desordonnance d'avoir plusieurs femmez sans avoir establi les repudier a quelconque cause, pour rempler lez delitz dez femmez nouvellez. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 124)
[3] Devant les princes se moustroient Tieulx, mais les gens qui les hantoient, Qui avoient a eulx a faire, Sçavoient plus de leur affaire, Car plumez, a tort, et a droit, Y estoient, en tout endroit, Sanz conscience et sanz regart A pitié, en quelconque esgart. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 46)
[4] " Mais elle respont que " sa loy Briseroit, se quelconque aloy Ou appareil d'aucun mengier Lui estoit fait par estrangier, Qui de sa loy mesmes ne fust, Pour ce, en un paneret de fust, Lui avoit porté sa mechine Tout son mengier et sa cuisine : C'estoit du pain et du formage, Vin et oile et autre laitage. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 224)
[5] c'est assavoir que si sagement saches atraire et maintenir toutes choses pertinans à conservacion de paix et par bon conseil qui y conviennent en deboutant toutes contrarietéz que quelconque cause de survenu accident contraire par faulte de bonne provision ne la puist empeschier ne troubler. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 62)
[6] La proprieté de ceste bonté en justice, à proprement et en brief dire, est ne faire pour quelconque faveur au riche ne que au povre, n'à amy n'ennemy, ne laissier pour quelconque paour les choses de justice. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 96)
[7] La proprieté de ceste bonté en justice, à proprement et en brief dire, est ne faire pour quelconque faveur au riche ne que au povre, n'à amy n'ennemy, ne laissier pour quelconque paour les choses de justice. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 96)
[8] Et pour ce que suivre la voye de ceste vertu pour sa noblesse, et fuir la trace de mençonge pour sa grant vilté et lait non est chose propre plus à prince qu'à quelconques autre homme, disoit Jhesus filz Sirach : Devant toutes euvres soit veritable parolle, c'est à entendre qu'en tout quanque tu aras à faire verité soit tousjours devant, comme il ne soit quelconque chose plus vituperable, tant inpartinant, ne de plus mal renommée,ne plus lait que à dire que un prince soit mençongier. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 162)
[9] La premiere que j'ay dit, qui d'orgueil vient, est quant cuer d'omme est tant eslevé en arrogance qu'il lui semble qu'autre quelconque creature ne le vaille et adont est comme forsenez quant, tant soit petit, est poingt d'aucun pou de parole qui ne lui plaise, ou que moins que neant lui soit fait aucune chose oultre son gré, ou que il ait quelque pou de perte, adont à son impacience n'y a resne tenue, mais toute fureur, qui n'est excusable en nulle maniere, ains tres mortele, dampnable et reprehensible, dont de tel orgueilleux dit Josephus que il decharra d'onneur et ne vendra à fin de sa voulenté. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 30)
[10] Et est l'argument que Boece en son livre de Consolacion met que Philosophie entre les autres raisons de reconfort lui proposa et mist au devant, quant lui ramenteut les enfans qu'il avoit, c'est assavoir que comme il n'ait esté ne soit quelconque creature tant delaissiée de toute bonne fortune que demouré ne lui soit aucun residu de cause de reconfort, à laquel chose, tres noble dame, la Dieu grace, tu n'as pas failli, ains, Dieux mercis, en as largement en pluseurs manieres et meismement plus que communement autres dames n'ont, lesquelles choses non recongnoistre seroit ingratitude, qui est grant pechié, et pourtant soit averti ton bon courage, et aies à memoire, en merciant Dieu, et meismement pour ton reconfort contre les assaulx et pointures de tribulacion, quant elles t'oppressent, les tres grans et nobles benefices que as receus de ton Createur (qui t'en doint bien user! (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 33)

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