C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quel dans 7FMR 
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[1] Quel exemple avons nous en ce cas du vaillant magnanime Scipion, qui bien fait a ramentevoir comme, ou temps que la seigneurie romaine estoit si durement foulee par Hannibal, aprés ses grans victoires, que es couraiges des Rommains n'avoit plus comme nulle esperance de salut de leur cité et que la plus grant partie d'eulx descendoit en oppinion de monter es nefs et abandonner Romme et aller habiter en autres regions, il, qui le peril commun de lui et des autres cognoissoit, le vouloir aussi du Senat qui se vouloit departir, vainqui les doubtes de son cuer par l'affection publique, si tira son espee emmy le conseil et jura haultement que qui parleroit plus de habandonner la cité sentiroit au trenchant de son espee que doit estre le guerredon de ceulx qui la chose publique delaissent pour leur singulier salut. (CHART., Q. inv., 1422, 49)
[2] Et se l'en demande d'autre part quel aide vient au prince de ses subgiez, la responce en est clere, car la verité en est cogneue a chacun, et qui comparage le temps de paixja passez a cellui qui est de present, longue difference trouvera entre les aides faiz au prince en cellui temps paisible et cellui que on lui fait en ce temps besongneux. (CHART., Q. inv., 1422, 50)
[3] Nous voions nostre prince qui depuis quatre ans n'a cessé de voiager sans guaires de repos ne d'arrest, nous voions les estrangiers alliez de nostre royaume qui passent les fortunes de mer pour venir a nostre secours et estre parçonniers de nostre adversité et de nostre paine, et les plusieurs de ceulx qui sont tenuz de defendre actendent et escoutent quel en sera le bruit, et se laisseroient avant chacer et charger du fais de la guerre jusques a estre deboutez de leurs maisons qu'ilz meissent paine de prevenir ne de chacer la guerre loing de soy. (CHART., Q. inv., 1422, 57)
[4] Mais, s'il vous plaist, pour la chose abregier Dittes comment, Pour quel raison ne par quel mouvement Vous maintenez a vostre entendement Qu'il y a plus plaisance que tourment. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 165)
[5] Mais, s'il vous plaist, pour la chose abregier Dittes comment, Pour quel raison ne par quel mouvement Vous maintenez a vostre entendement Qu'il y a plus plaisance que tourment. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 165)
[6] Comme le sucre a la chaleur recuit, Quant il est prest Par recuittes et maint divers apprest, Quel part qu'il soit, ou en don ou en prest, Jamais ne fait si non bien ou il est: Doncques l'ardure De Jennesse, qui soy mesmes n'endure Et qui tant est a passer forte et dure, Est par Amour amenee a mesure Et bien passee Et de mainte grant foleur respassee; (CHART., D. Fort., 1412-1413, 175)
[7] Quel divers hoste Qui offre assez et promet, et puis oste; (CHART., D. Fort., 1412-1413, 182)
[8] Maiz ja soit ce que je doubtoie A enquerir De son mal et l'en seurquerir, Si osay ge bien requerir Que vers elle peusse acquerir Si privé bien Qu'il lui pleüst, sans doubter rien, Me dire quel mal est le sien, Et que je le celeroie bien, S'il le faloit; (CHART., L. Dames, 1416, 211)
[9] Et en souspirant de rechief Mist ses deux mains contre son chief Et dist: " Quel douleur, quel meschief! (CHART., L. Dames, 1416, 212)
[10] Et en souspirant de rechief Mist ses deux mains contre son chief Et dist: " Quel douleur, quel meschief! (CHART., L. Dames, 1416, 212)

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