C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quattre dans 7FMR 
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[1] Et aussi tost qu'il fut hors la cité, il veït le feu en grant nombre de maisons au costé deçà la rivière, où il alla loger à quattre lieues. (COMM., I, 1489-1491, 167)
[2] Ainsi, ledict monseigneur Charles devint duc de Guyenne l'an mil quattre cens soixante et neuf et en eut bonne possession: le pays, avec le gouvernement de la Rochelle; (COMM., I, 1489-1491, 171)
[3] Dès ce que le roy Edouard fut en terre, il tira droit à Londres, car il avoit plus de deux mil hommes tenans son party dedans les franchises, dont il y avoit trois ou quattre cens chevalliers et escuyers, qui luy fut grand faveur, car il ne descendoit pas à grans gens. (COMM., I, 1489-1491, 213)
[4] Le roy luy donna très bonne esperance, et luy feït donner quattre cens escuz, et envoya quant et luy devers l'empereur ung appellé Jehan Tiercelin, seigneur de Brosse. (COMM., II, 1489-1491, 14)
[5] Ainsi, pour ces raisons, se leva ledict duc de Bourgongne, l'an mil quattre cens soixante et quinze. luy devers l'empereur ung appellé Jehan Tiercelin, seigneur de Brosse. (COMM., II, 1489-1491, 27)
[6] et, à l'endroit où ilz parloyent, n'y avoit avec ledict duc que trois ou quattre personnes. (COMM., II, 1489-1491, 62)
[7] Et d'adventure, le lendemain après ceste veüe, comme il estoit en son retraict, que nous n'etions que trois ou quattre, il lui eschappa quelque mot de risée touchant ces vins et ces presens qu'il avoit envoyéz à l'ost des Angloys. (COMM., II, 1489-1491, 71)
[8] Et luy approcha son armée du pays de Vaulx, en Savoye, que lesdictz Suysses avoyent prins sur monsr de Romont, comme dit est, et print trois ou quattre places qui estoient à monsr de Chasteauguyon, que lesdictz Suysses tenoient, et les deffendirent mal. (COMM., II, 1489-1491, 102)
[9] On leur respondit qu'on leur monstreroit lettres, quant il plairoyt au roi, escriptes de telles mains qu'ilz les croyroyent, qui disoyent que ladicte damoyselle ne vouloit conduyre ses affaires que par quattre personnes. (COMM., II, 1489-1491, 194)
[10] Et, pour parler de l'esperience de la bonté des François, ne fault alleguer de nostre temps que les troys Estatz tenuz à Tours après le decès de nostre bon maistre le roy Loys, à qui Dieu face pardon, qui fut l'an mil quattre vingtz et troys. (COMM., II, 1489-1491, 219)

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