C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quatres dans 7FMR 
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[1] Lors s'apensa que vraiement il le requerroit de quatre pointes combatre corps a corps jusques a oultrance ou les quatres bastons perdus. (LA SALE, J.S., 1456, 186)
[2] L'argent de ma bourse trarra, Trante deniers te contera : Et ung et II et III et quatres, Grand desir ayt de Jhesu batres, Et V et VI et VII et VIII, Et crucifié devant la nuyt, Neufz et dix, XI, XII, XIII, Il aura la male estrene, Quatorse, XV, XVI, XVII, XVIII, Mal jour aura avant la nuyt, XIX, XX, XXI, XXII, XXIII, vin et quatre, Se nous Jhesus pouvons abatre, XXV, vin six, XX sep, vin huit,Mal il aura de nous tuit, Vin et neufz et trante, Marie en sera au cueur dolente. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 80)
[3] Et concluons que, pour ces quatres considerations, Nostre Dame par raison fut saluee de l'ange, et nommee plain de grace et en toutes femmes bieneuree : Ave, Maria, etc.. (GERS., Annonc., a.1400, 231)
[4] Qui est celui qui voulroit dire que Jhesus ne eust peu dire ces quatres parolles : «Je ne le congnois» ? (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 220)
[5] Et pareillement le Roy, vostre pere, renvoya grant partie de ses gens d'armes ès frontieres necessaires, et se partit avec ung nombre de gens de piet allemans et aultres, et traversa entre Gand, Bruges et l'Ecluse, et pilla tout le pays de Vaulx et des Quatres mestiers. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 169)
[6] Ces quatres maulx de huisseuse et les quatre biens de excercice, ou livre dessus ditSalomon les demoustre afin que on fuie huisseuse et que on quiere excercice de discipline. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 39)
[7] Quatres choses principales sont qui esmeuvent a discipline ou estude de sapienche, asscavoirhonnesteté, suavité ou doulceur, diuturnité ou longueur, et utilité ou proufit. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 83)
[8] Les qualités des personnes sont considerees en quatres manieres, asscavoir selonc l'eage, selonc la science, selonc l'office et selonc l'ordre. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 251)
[9] Ces quatres choses ne se partent deton cuer ne de ta bouche ne de ta memoire ne de ton affection». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 335)
[10] Regarde songneusement, o homme, quel chose tu aimes, quel chose tu criens,de quoy tu t'esjoïs ou dont tu as tritresse, car tout le cuer de l'omme est en ces quatres affections ; (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 337)

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