| [1] | Dix et sept, cinq, trese, quatorse et quinse M'a doucement de bien amer espris. (MACH., Rond., 1377, 574) | | [2] | Pris ha en moy une amoureuse emprise -- Dis et sept, cinq, trese, quatorse et quinse -- Pour sa bonté que chascuns loe et prise Et sa biauté qui sur toutes ont pris. (MACH., Rond., 1377, 574) | | [3] | Dis et sept, cinq, trese, quatorse et quinse M'a doucement de bien amer espris. -- Pour sa bonté que chascuns loe et prise Et sa biauté qui sur toutes ont pris. (MACH., Rond., 1377, 574) | | [4] | Apriés tous ces congiés, la jone roine Phelippe d'Engleterre, en l'eage entre trese et quatorse ans, se departi de Valenchiennes en la compagnie de messire Jehan de Hainnau son oncle, dou signeur de Fagnuelles, dou signeur de Ligne, dou signeur de Brifuel, dou signeur de Haverech, dou signeur de Wargni et plus de quarante chevaliers et esquiers de Hainnau. (FROISS., Chron. D., p.1400, 158) | | [5] | et estoit en l'eage de quatorse ans. (FROISS., Chron. D., p.1400, 267) | | [6] | et en i ot grant fuisson de mors et de bleciés, de une part et d'aultre, et plus assés des Espagnols que des Englois ensi conme il fuapparans, car il i laissierent quatorse nefs et les honmes et l'avoir qui dedens estoient. (FROISS., Chron. D., p.1400, 890) | | [7] | L'argent de ma bourse trarra, Trante deniers te contera : Et ung et II et III et quatres, Grand desir ayt de Jhesu batres, Et V et VI et VII et VIII, Et crucifié devant la nuyt, Neufz et dix, XI, XII, XIII, Il aura la male estrene, Quatorse, XV, XVI, XVII, XVIII, Mal jour aura avant la nuyt, XIX, XX, XXI, XXII, XXIII, vin et quatre, Se nous Jhesus pouvons abatre, XXV, vin six, XX sep, vin huit,Mal il aura de nous tuit, Vin et neufz et trante, Marie en sera au cueur dolente. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 80) | | [8] | Regarde comment je sui forte En une seule main plus porte Que ne fachent quatorse nes. (FROISS., Par. am., c.1361-1362, 57) | | [9] | recongnurent et confesserent, de leurs bons grés et bonnes voulentés et pour leur cler et evident proffit, sy comme il dissoient, avoir vendu, quité, cessé, delaissié et du tout en tout transporté, a tous jours mais perpetuellement, a Jehan Arrode,changeur et bourgois de Paris, et Agnés, sa fame, a leurs hoirs et a leurs aians cause, quatorse livres de rente annuelle et perpetuelle a prandre, avoir, lever et gaiger par les diz achateurs, leurs hoirs et aians cause, par les quatre termes a Paris en l'an acoustumés, en et sur quatre ouvroueirs et sur touttes leurs appartenances, seans sur Grant Pont a Paris, dont les deux sont entretenans et sient ou renc des changeurs, tenans, d'un costé, aux diz vendeurs et, de l'autre cousté, a Guillaume Barbou, et les autres deux seans ou renc des orfevres, tenans, d'un costé, aux diz vendeurs et de l'autre cousté au dit Guillaume Barbou, tous quatre reponnans l'un pour l'autre, tantost apprés les charges qui s'enssuivent, c'est assavoir les deux seans ou renc des changeurs chargiés en XIIII livres avant ceste vante, es quiex ou en l'un d'eux demoure a present Robin Dieux Y Voit, a Guillaume de Hedinc quatre lb., a l'Oustel Dieu quatre lb., a honorable homme et discrest maistre Pierre d'Aunoy six lb. ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 167) | | [10] | les quelles quatorse lb. de rente annuelle et perpetuelle ainsy vendues par les diz vendeurs les diz acchateurs, leurs hoirs et aians cause, auront, prandront, gaigeront et leveront, par les quatre termes a Paris acoustumés, en et sur les quatre ouvreeurs et appartenances, tantost apprés les dictes charges ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 168) |
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Attestation de 