C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prit dans 7FMR 
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[1] Si pri qui lira ceste lettre, En quoy ma vie ay sceu mettre, Qu'il prit Dieu qu'ait de moy mercy Et ceulx qui l'orront dire aussiPrient pour moy. (Mir. st Alexis, 1382, 365)
[2] La maladie le jour de Noël prit Par froidure que si fort la surprit, A matines si fut trop longuement, Cuydant bien faire, combien qu'elle mesprit. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 182)
[3] Quant Boreas redoubté et cremus Sceut que Flora se devoit marier, Prit son chemin vers l'hostel Tantalus, Querant souldars pour y remedier, Dont Yxion feit sa roue appoincter Pour tormenter l'espouse bienheurée, Car Boreas la devoit fiancer, Comme il disoit, par juste mariage. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 98)
[4] Mes de li tant de biens retient Qu'il scet le voie et le maniere Comment doit faire sa priiere, Sicom il l'euïst en escript : Une foelle de lorier prit Et ou rai dou solel le serreEt puis, des nus genous a terre, A commenciet une orison Qui s'ordonne par tel raison : (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 95)
[5] DE BETHENCOURT PRIT CONGE DU ROY D'ESPAIGNE CHAP. LXX (6206, 257)
[6] Et pour exposer sa creance prit son theume: Ecclesiastici, tertio. (FAUQ., III, 1431-1435, 45)
[7] Et après que Thierry et Sebille eurent lignie et qu'ilz eurent regné enssamble trente ans, et gouverné et tenu le pays en pais et en prosperité, Sebille, advertie de la mort du Roy de Jherusalem, son pere, prit devocion de visiter la terre saincte dont elle estoit venue, et de veoir comment ses freres se maintenoient et gouvernoient le royaume de Jherusalem et la terre de Surrie. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 76)
[8] mais le Roy de Cypres envoya au devant de luy et le rechupt benignement en son pays, et luy donna à entendre la crainte où il estoit et comment, maulgré luy, il dissimuloit avecques les payens, et le fit sage de la puissance des mescreans Salhadins, qui estoit moult grande, et prit en conseil, par le moyen du Roy de Cypres, qu'il envoya en Jherusalem demander ung saulf conduit pour six mille hommes aler en pelerinage au Saint Sepulcre et sans armures. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 78)
[9] Mais il ne prit pas la cité, car elle estoit trop bien gardée et deffendue. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 62)
[10] Et quant Bonniface congnut la froideur de son compaignon, il adventura vigoureusement le surplus, et, en marchant près, il habandonna sa hache et prit la hache de messire Jaques par le bout d'embas, de sa main senestre, et de la dextre main il tira sa dague et haulsa la main dextre comme s'il contendist après le visaige de messire Jaques. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 99)

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