[1] | Ainsi doint Dieux a mon cueur joye, En ce que souhaidier vouldroye, Et a mon penser reconfort, Comme voulentiers prisse accort A Soussy qui tant me guerroye. (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 337) | [2] | QUANT L'EMPEREUR Charles eut parlé ainssy gracieusement a son nepveu Roland, follement et sans grant raison le dit Roland va respondre : «Bel oncle, ne m'en parlés plus, car j'ameroye troup mieulx que vous fussiez confus et demenbré que ce que je prisse armes ne cheval pour jouster comme vous le dittes. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 31) |
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