C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prestz dans 7FMR 
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[1] Prestz seroient a la despense, Maiz trestardifz a la deffense. (CHART., L. Dames, 1416, 225)
[2] Et pour ce les eubz tu si prestz a obeir. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 125)
[3] autre porcion de gens ot le prince resservée, lesquelz il establi pour la compagnie, garde et deffense de son corps, du menu peuple, du clergié, des femmes, des laboureurs et de son pais, et ceulx ne feissent autre mestier fors tousjours estre esveilliés et prestz à la ditte deffense, et ne devoient espargnier leur corps pour peril de mort contre tous annemis. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 114)
[4] Tellement se porta leur discord qu'il faillut que le duc de Bretaigne, pour craincte de sa personne, se retirast au mont Saincte Katherine, près Rouen, et fut leur question jusques là que les gens du duc de Normandie avec ceulx de la ville de Rouen furent prestz à aller assaillir ledict duc de Bretaigne jusques au lieu dessusdict, par quoy fut contrainct de se retirer le droit chemin vers Bretaigne. (COMM., I, 1489-1491, 89)
[5] Avant qu'ilz fussent prestz, celuy qui tenoit ladicte ville de Dyeppe en feïst son appoinctement avecques le roy. (COMM., I, 1489-1491, 90)
[6] et sa suspicion estoit vraye et bonne, car en ce propoz estoient-ilz et prestz à saillir. (COMM., I, 1489-1491, 112)
[7] Ilz entrèrent tout droit en la chambre dudict duc, luy faisant reverence, et porta monsr de Bresse la parolle, suppliant audict duc que les trois dessus nomméz vinsent en sa seüreté, nonobstant la venue du roy, ainsi comme il leur avoit esté accordé en Bourgongne et promis à l'heure qu'ilz y arrivèrent, et aussi qu'ilz estoient prestz à le servir envers tous et contre tous. (COMM., I, 1489-1491, 127)
[8] et croy veritablement que, si à ceste heure là il eust trouvé ceulx à qui il s'adressoit prestz à le conforter ou conseiller de faire au roy une mauvaise compaignye, qu'il eust esté fait, et pour le moins eust esté mys en ceste grosse tour. (COMM., I, 1489-1491, 134)
[9] et, avecques ce, que aucuns des fuyans estoient retournéz (je parle des gens de pied), mais estoient si descouraigéz qu'ilz sembloient mal prestz à faire grans armes et que, pour Dieu, ilz se hastassent de marcher, affin que une partie de ceulx de la ville fussent contrainctz de tirer à leurs deffenses, chascun en son endroit; (COMM., I, 1489-1491, 150)
[10] C'estoit quelque peu de chose qu'ilz avoient pour se tenir prestz en leurs maisons. (COMM., I, 1489-1491, 176)

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