C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de preste dans 7FMR 
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[1] Mais Sobresse, en souffisance reffaitte, Est preste a tout quant vertu lui convie, Ayde de sens et de santé la gaitte, Garde de corps et concierge de vie. (CHART., B. Nobles, c.1424, 407)
[2] Ainsi voulut plus honnourer le tiltre divin que craindre le tyrant inhumain, et en monstrant sa cité preste a la correction divine deservit il misericorde et grace d'en eschaper, ainsi que l'enfant qui se vient rendre soubz la verge du pere. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 146)
[3] Nef bien garnie, grande et preste Ymeneüs adonc appreste, A mon patron bien la commet, Ma meisgnee et lui et moy met Dedens et puis, par son congié, Partons, plus n'y avons songié. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 46)
[4] " Si est honte a homme et dommage, Quant Dieu le forma a s'image, Pour virtueux entendement Avoir, et a tel dampnement Se met qu'il vit comme une beste, Qui a tous ses vouloirs est preste. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 76)
[5] C'iert au temple a la grant Venus, Qui joye et dueil aux amans preste, Si estoit veille de sa feste. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 64)
[6] Mais moult tost est la chose preste, Quant Fortune et Meseur l'apreste ! (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 153)
[7] s'il avient qu'il saille Hors, tost trouve bataille preste De gent moult griffeine, et contreste. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 51)
[8] Et pourtant, considerées les choses dessus dictes, tres debonnaire prince, c'est assavoir veu que l'inclinacion generalles des menus populaires est prompte et preste par petite consideracion et à pou d'achoison, sans viser meismes ne que bestes au mal qui leur en puet venir, mais que quelque pié aient qui les induise et esmeuve soubz umbre de dire que ilz sont mal gouvernéz et que mieulx le seront à commocion et tumulte, et neantmoins ne plaist pas à Dieu que ilz soient par prince trop asservis ne fouléz par oultrageuses charges, si que dit est. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 130)
[9] Aprés ce que elle serapreste, yra ouïr ses messes, tant et en tel quantité que sa devocion sera, ou que loisir et temps luy donra : car n'est mie doubte que se ceste dame a qui soit commis grant gouvernement, comme plusieurs font et ont fait a leurs femmes quant les veoyent bonnes et sages et ilz aloyent hors, ou ilz estoient occupéz ailleurs, ilz bailloient la charge a elles et auctorité de governer tout le fait de leur seigneurie et estre le chief du conseil, - et telles dames font a excuser plus meismes vers Dieu se tant n'employent de temps en longues oroisons que celles qui plus ont loisir, ne elles n'ont pas moins de merite de bien et justement entendre a la chose publique et au bien de tous a leur pouoir que elles aroyent de plus longuemement vaquer en oroisons, s'ainsi n'estoit que elles voulsissent du tout entendre a la vie contemplative et laissier la vie active, si que j'ay dit. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 47)
[10] Criast ou quelque deffiaille, Tost trouvast preste la bataille. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 121)

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