Attestation dans les corpus textuels   Attestation de preniez dans 7FMR  2 attestations   Page 1/1  [1] Si dit trop bien à ce propos Salemon : Voz yeulx voient devant voz piéz, qui est à dire que avant regardiez que vous faites ou voulez faire que entre preniez si grans faiz. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 130) [2] et vous prie que le preniez en gré, en acomplissant mon theume: Audite illos, et quod iustum est iudicate,etc. . (JUV. URS., Aud. illos, 1432, 45) [3] La recordation desquelles choses (ce me semble) doit maintenant livrer un si dur assault à la porte de vostre conscience que, rompant le voile de vostre tendre cueur, vous preniez desormais pitié et compassion de mon estrange et cruelle fortune, laquelle n'est pas seulement reduicte à la misericorde d'une tresdouloureuse prison et au pouvoir d'un sanglant et impitoyable tyran, mais qui pis est, au continuel hazard d'une honteuse mort à laquelle je n'aurois regret, et de long temps l'eusse avancée par mes propres mains pour trouver repos en l'autre vie, sans qu'en mourant j'eusse laissé une eternelle tache à ma renommée et un perpetuel heritage d'infamie aux miens. (S181, 203) [4] En somme je faiz ce que je desirerois m'estre faict de vous, si j'estois en vostre lieu, et ne doubte pas que ne le preniez de vostre costé de tel cueur qu'il procede. (S583, 46) [5] Toutefois il vous declairera ce qui nous a semblé advis bon, affin que sur cela vous preniez conseil. (S583, 51) [6] Je vous en ay voulu advertir, non pour aultre cause sinon que je presume que vous eussiez esté marry de n'en estre point adverty, carsi voz affaires portent que vous preniez conclusion de venir, cest advertissement pourra servir. (S583, 136) [7] Au bout de deux heures apres, m'envoyerent querir, et me firent responce de bouche en disant qu'ilz s'esmerveilloient grandement de quoy vous preniez peine et soucy d'une chose qui en riens ne vous touchoit, et que vous ne vous mectez ja en telle adventure de les aller chercher au pays pour telle achoison, et que par quelque promesse que leur dit roy vous aye fait ne vous en debvez mesler, car pour voz lectres ne pour voz menasses ne lairront a mectre fin a leur entreprinse, car avecques vous ilz n'ont riens a faire. (jdp, 4) Fermer la fenêtre