C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prende dans 7FMR 
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[1] Si vous suppli chierement, messire Gautier, que vous voelliés alerdeviers lui et li priier pour nous et remonstrer conment loiaument nous avons servi nostre signeur li roi de France, nous conme si saudoiier et si soubject, et les povres gens de ceste ville aussi qui n'en pooient ne osoient aultre cose faire, et nous laise partir hors dela ville nous, chevaliers et esquiers, qui ichi dedens sonmes enclos, et prende en merchi et en pité le povre peuple deCalais, plenté n'en i a pas, et nous laise partir et isir et aler ailleurs querre nostre mieuls, et prendre la ville et le chastiel, l'or et l'argent et toutce que il i trouvera. (FROISS., Chron. D., p.1400, 836)
[2] Pour ce qu'avez en Dieu fiance, Sur vous fera de sa puissance Telle vertu, ce vous promez, Que toy qui fille et mari es, Quant nu despoulié te seras Et qu'entrer ou bain deveras C'on a fait pour toy adviser, Ne sera nul qui diviser Puist de toy, tant y prende garde, Qu'omme ne soies. (Mir. fille roy, c.1379, 103)
[3] Pour ce, ly va incontinant Dire que la dignité prende. de sa puissance Telle vertu, ce vous promez, Que toy qui fille et mari es, Quant nu despoulié te seras Et qu'entrer ou bain deveras C'on a fait pour toy adviser, Ne sera nul qui diviser Puist de toy, tant y prende garde, Qu'omme ne soies. (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 112)
[4]Sçavoir fais, de par mon seignieur, Que chescum se prende bien garde : Le feu de sainct Anthoyne l'arde, Qui me buta de l'aygue au vin ! (Myst. st Bern. Menth. L., c.1450, 174)
[5] Et si je ne souffiz à rendre pour icellui graces condignes à ton George, simulachre que je aprez les immorteles essences plus honneure, qui est l'astre irradiant dont les ygnées pointes aguillonnent ma foible nature, et est cellui qui n'a pas eu regart à mon mal faire, mais comme soleil luisant egalement tant sur vile que sur noble matere, ainsy sur mon obscur nom a getté son ardant flambeau et m'a oultré et sans merites exaulcé comme se j'estoieun grant suppost de science, fault il neantmoins qu'il prende en gré mon pou comme j'extime son grant. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 131)
[6] - Se mon ami [pooie plus souvent] - Or li suppli qu'il prende en paiement Aucuns regars quant mon coer li envoie. (FROISS., Rond. B., c.1365-1394, 76)
[7]Et, quant si grans ies et si dignes En fais, en oevres et en signes, Je te pri que ta vertu voelle Descendre en ceste verde foelle Et qu'elle l'alume et esprende, A fin que ceste ymage y prende A present mouvement et vie. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 101)
[8] Dont pour le peril qui y serre Esvillie m'ont ces pucelles, Pité et Raison, et sont celles Qui m'ont dit en plours et en larmes Que je prende cheval et armes Et deviers mes amis envoie, Car contre moi s'est mis en voie Uns visces qui me voelt confondre. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 118)
[9] et si je ne souffiz à rendre pour icellui graces condignes à ton George, simulachre que je aprez les immorteles essences plus honneure, qui est l'astre irradiant dont les ygnees pointes aguillonnent ma foible nature, et est cellui qui n'a pas eu regart à mon mal faire, mais, comme soleil luisant egalement tant sur vile que sur noble matere, ainsy sur mon obscur nom a jetté son ardant flambeau et m'a oultre et sans merites exaulcé, comme se je estoie un grant suppost de science, fault il neantmoins qu'il prende en gré mon pou, comme j'extime son grant? (5425, 178)
[10] Le quart chappitre Se une femme veult faire que son mari aime tous ses enfans oultre mesure si prende de l'orine de tous ses enfans a tout eaue belle et clere et par .IX. jours, au desceu de son mari, lui en face laver ses mains et son visage, et sans faulte, il les amera oultre mesure. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 108)

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