C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prend dans 7FMR 
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[1]Le roy envoie monsieur de Nevers et l'evesque de Paris vers le roy de Castille et pour ses resors et aucunes appellacions, et cella se prend fort a ceur et en grant aprest de parolles. (0304, 297)
[2]" Et sur ce il prend congié, dont pour prieres nulles ne voult demeurer au disner, mais pour veoir sa contenance et son maintien messire Anguerrant fist demeurer. (LA SALE, J.S., 1456, 107)
[3] Le premier est des noms des hystoriographes qui ont escriptles tresdignes fais de memoire pour ceulx a qui plaisir prend de les lire. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 4)
[4]Et qui n'y prend garde, moult souvent, par pluiseurs voyes, lagrant habondance vient tost a mains; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 17)
[5] Et lorsSercorius remonstra a la barbarine multitude, qui grant tallent avoit de savoirque signiffioit telle chose: la queue du fort cheval, ce dist il,signiffie le fort ost de Romme, lequel, se on le prend par parties, on le pueltbien vaincre et oppremer; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 27)
[6] mais qui le prend tout ensemble,il donrra ainchoiz victoire de luy qu'il ne la prendera de eulx. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 27)
[7]Lors prend congié des bonnes gens qui le avoient guidé; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 121)
[8] Et de ce il prend Nostre Seigneur, Nostre Dame et monseigneur saintGeorge, le bon chevalier, a tesmoing a ceste journee qui au jour d'uylui est assignee. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 215)
[9] Alors le mareschal ou conseillier,finees ses parolles, prend l'appellant par ses deux mains ostees des ganttellez etluy dist qu'il dye les parolles après luy que il dira, et la mectsur la croix: Je tel, appellant, jure sur ceste ramembrance de la saintepassion de nostre Sauveur Dieu Jhesucrist et sur la foy devray crestien et du saint baptesme que je tiens de Dieu, que j'ay et cuide fermement avoir pourcertain bonne, juste et sainte querelle et bon droit, de avoir en cegaige appellé le tel, comme faulx et malvais traytre, ou murtrierou foy mentie, selon le cas que c'est. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 218)
[10] Et quant le mareschalou conseillier le a bien admonesté, comme dit est, le mareschal ou conseillier, apprèstout ce, prend ses mains ostees des ganttellez et les mect ainssyqu'il a fait celles de l'appellant; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 218)

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