C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prenans dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Et, au regard de luy, il avoit son armée si rompue, si mal en point et si povre, qu'il ne l'osoit monstrer devant eulx: car il avoit perdu devant Nuz quatre mil hommes prenans soulde, entre lesquelz y mourut des meilleures gens qu'il eust. (COMM., II, 1489-1491, 29)
[2] Le seigneur de Contay, qui arriva vers le roy tost après la bataille, confessa au roy, moy present, que, en ladicte bataille, estoient mortz huict mil hommes du party dudict duc, prenans gaiges, et d'autres menuz gens assez; (COMM., II, 1489-1491, 121)
[3] Le seigneur de Contay, qui arriva vers le roy tost après la bataille, confessa au roy, moy present, que, en ladicte bataille, estoient mortz huict mil hommes du party dudict duc, prenans gaiges, et d'autres menuz gens assez; (COMM., II, 1489-1491, 121)
[4] Il ot jadis un roy en France, Homs vaillans et de grant puissance, Et fu messires sains Loys, Qui ne fu prenans ne loys, Mais vesqui adès justement Et en son secret saintement, Dont par justification Avec saintification Fu il si bien justifiés Qu'en gloire en est saintefiez. (MACH., D. Aler., a.1349, 311)
[5] Mes clercs pres prenans comme glus, Se vous alez a Montpipeau Ou a Rüel, gardez la peau, Car pour s'esbatre en ces deux lieux, Cuidant que vaulsist le rappeau, Le perdyt Colin de Cayeulx. (VILLON, Test. M., 1461-1462, 129)
[6] Desquieulx parle Ysaïe, en son premier chappitre, en disant qu'il est aucuns princes et chevaliers qui sont infideles et compagnons des larrons, prenans de tous costez et vivans sans foy et sans loy. (BUEIL, II, 1461-1466, 73)
[7] Mais toutesvoies,la retribucion doit estre faite a tant comme les prenans ourecevans le ordennent. (ORESME, E.A., c.1370, 455)
[8] Et ceste amour s'appelle amour unique, a chascun commune singulierement et singuliersa tous ensamble, non point acroissans par participacion ne defaillans par usaige ne prenans viellesse ne ancienneté par quelcunque succession de temps, mains est antique et novel et desirable par affection ; (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 270)
[9] Et n'est point à doubter que, quant le roy eust voulu dire Avant, et qu'il eust esté bien servy des gens de guerre prenans ses gaiges et souldées, avecques les nobles et peuple de Paris qui bonne devocion avoient au saint, il eust subjugué et mis tous sesdiz ennemis en tel estat que jamais ne feussent retournez dont ilz estoient partis pour venir devant ladicte ville. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 105)
[10] Comment les Gandois coururent le plat païs de Flandres, y prenans quelques chasteaux et forteresses; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 221)

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