C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prannent dans 7FMR 
11 attestations 
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[1] Mais autrement va des barons Et des aultres qui prannent femmes, Car sanz vir queuvrent leurs diffames, Et les prannent sanz ce sçavoir Qu'elles font depuis apparoir, Comme plus a plain sera dit. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 54)
[2] Mais autrement va des barons Et des aultres qui prannent femmes, Car sanz vir queuvrent leurs diffames, Et les prannent sanz ce sçavoir Qu'elles font depuis apparoir, Comme plus a plain sera dit. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 54)
[3] Aucuns cuident eschuer l'ire De femme povre, si la prannent; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 84)
[4] " Lors prant et despiece la presse, Et les autres prannent après. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 110)
[5] Se les princes y advisoient, Jamais gaiges ne leur donrroient Que ilz prannent si excessis, Et si seroient tous jolis De venir, se on les mandoit Sanz argent, et ce seroit droit. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 155)
[6] Chargié de ses griefs faiz le prannent, S'il a argent, ne le condempnent; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 157)
[7] Non pas pour fornicacion Eschuer, prannent pluseurs fame Au jour d'ui, mais que pour le blame De luxure et de leur desir Traicter et aveuc eulx gesir. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 178)
[8] Pour vin que ayent prins au matin les grommetz, Ne quelque oudeur qu'ilz ayent voulu eslire, Ne pour dormir tant qu'il prannent leurs metz, Ne pour soleil qui puisse sur eux luyre, Ne pour beaux motz qu'ilz puissent aux saintz dire, N'en espargnez plus ne foible ne fort, Car il convient tout homme desconfire Se humains ne font envers Dieu leur accord. (Cene dieux, c.1492, 139)
[9] Et aussi pour ce que pluseurs prannent bourses de notaire sur l'emolument dudit seel, auroient dit que pour tel interest n'en venroit po ou neant au profit du Roy, car pour ce tendoient pluseurs à ce que le seel vaille plus. (BAYE, II, 1411-1417, 199)
[10] lequel, de son bon gré, sanz force ou contrainte aucune, luy sur ce bien conseillié, pourveu et advisé, sicomme il disoit, recognut et confessa pardevant yceulx notaires avoir prins et retenu, et par ces lettres prent et retient pour luy et ses ayans cause, de l'endemain du jour de Pasques derrainier passee jusques a douze ans ensivans continuelz et acompliz, de religieuses personnes et honnestes les abbé et couvent dudit lieu de Saint Magloire, l'ostel que lesdiz religieux avoient et ont en la ville de Mery lez Monfort l'Amaurry avecques et ensemble toutes les terres, boiz, prez, dismes, champars, cens, rentes, revenues, prouffis, emolumens, exploiz, et toute la justice jusques a soixante solz par. et audessoubz, que yceulx abbé et couvent avoient, ont et peuent avoir et demander tant en ycelle ville de Mery comme es villes et terrouers de Marueil, Basoches, Galuys, Boissy, Aytte, la Miliere, et generalment en toutes les autres villes, terrouers, et lieux du dit pays, exepté ce qu'ilz ont et peuent avoir en la ville, terrouer et appartenances des Essars le Roy, sauf aussi et reservé aux diz abbé et couvent pour eulx et leurs ayans cause toutes espaves, fourfaitures et confiscations qui y escherront et sourvendront durant ycelles douze annees, esqueles choses ycellui preneur aura et prandra jusques a soixante solz par. et lesdiz abbé et couvent y prandront le seurplus, et demourera reservé aussi et retenu pour eulx tout le droit des fiefs qu'ilz ont et peuent avoir en ycellui pays, ceste prinse et retenue faictes tant pour et parmy la somme de cent livres tourn., monnoye courant a present, ung escu d'or a la couronne compté, mis et employé pour vint deux solz six deniers tourn., non obstans mutation de monnoye et quelconque ordonnance que l'en face ou temps advenir sur le cours d'icelles, que de ferme ou louyer par an ycelluy preneur en sera tenu, gaiga es mains desdiz notaires et promist loyalment et en bonne foy rendre, paier et livrer a Paris, a ses propres coulx, fraiz et despens, en ladicte eglise de Saint Magloire, aux diz religieux abbé et couvent, a leur procureur ou au porteur de ces lettres de par eulx, doresenavant chascun an egaulment par les quatre termes a Paris accoustumez, premier terme et paiement commencent a la Saint Jehan Baptiste prouchaine venant, et ainsi d'an en an et de terme en terme durans lesdictes douze annees, sur quoy et en rabat et deduttion d'icelle ferme ycelluy preneur disoit avoir baillié et paié aux diz religieux la somme de cinquante livres tourn. comme, pour et parmy ce que ycelluy preneur sera tenuz et promist le dit temps durant paier les groz que sur ycelluy hostel de Mery et autres lieux dessuz declairez les curez d'illec environ ont accoustumez de prandre et prannent chascun an, et de tout ce acquictier, garantir et delivrer lesdiz religieux et touz autres ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 792)

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