C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de prandre dans 7FMR 
271 attestations 
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[1]) à ce je te respons, ma redoubtée dame, en repliquant ce que dit est devant que l'esperer en Dieu en bien faisant pour eulx et prandre en pacience te puet empetrer grace envers Nostre-Seigneur de les bien tostravoir (ce que Dieux tost te doint! (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 38)
[2] Et donques par plus fort raison, Tu, qui es raisonnables hom Et qui as ame intellective Perpetuel, saige et soubtive,Doiz mieulx tendre a avoir lignée Par le moien d'espouse née Que tu deusses prandre et henter Pour ta forme representer, Toy et ton nom après la mort Selon la loy. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 9)
[3] Aussis y vueillez garde prandre, Afin qu'en la conclusion Soyons tuit d'une opinion, Selon ce qu'il sera veu Des responses et congneu Et argué pour le milleur. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 20)
[4] Or le fault en cest estat vivre Jusques de femme soit delivre, Car femme a et ne l'a il pas, Et si ne puet sanz son trespas Marier n'autre femme prandre; tu deusses prandre et henter Pour ta forme representer, Toy et ton nom après la mort Selon la loy. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 24)
[5] Si suy en grant proplexité, Car il m'est de neccessité Qu'a marier me doye entendre, Se je doy jamais femme prandre, Dedenz brief temps pour avoir ligne. autre femme prandre; tu deusses prandre et henter Pour ta forme representer, Toy et ton nom après la mort Selon la loy. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 26)
[6] Aureole nous fait ung compte De Theofrastre et nous racompte En son livre qu'il fist des nopces, Ou il n'a arestes ne boces, S'il laist au saige femme prandre, Et diffinit, se belle et tendre Est, de gent corps et bien parens, Honneste et de riches parens, Qu'elle soit bien moriginée Et de sa maniere ordonnée; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 42)
[7] Si veult il dire et recorder, Et a son accort me consens, Que li saiges pert la son sens: Donques ne doit il femme prandre, Qu'a l'estude et a elle entendre Ne puet ne a tous deux servir, A sa femme et aux livres vir. de riches parens, Qu'elle soit bien moriginée Et de sa maniere ordonnée; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 42)
[8] Si me semble que cilz est nices Qui, sanz cerchier ce qu'il veult prandre, L'achate et ne le puet reprandre. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 53)
[9] Son mari ne lui escondit Riens veoir n'oir ne entendre, Et ainsi puet son deduit prandre Chascun jour et avoir plesir. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 59)
[10] Hirces, pour sa grant renommée, Après ce repudiement, Lui depria treshumblement Qu'a femme voulsist sa suer prandre; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 83)

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